Berry - Touraine

Sujet: Re: Berry - Touraine Mar 27 Oct 2009 - 18:39

Citation :: Communiqué du quartier général des forces armées du Périgord Angoumois.

Citoyennes et Citoyens,

Une belle victoire défensive.
La ville de Rochechouart a été brillamment défendue par l'armée du Major Général Shumif, qui a infligé des pertes conséquentes à l'armée Berrichonne du Capitane Tadek, le repoussant sur un nœud.
L'opération Sandwich Périgourdin commence sous d’excellents augures.

Gloire aux armées du Périgord Angoumois.

Qu'on se le dise...

Louis Vonafred de Dublith
Capitaine.

Sujet: Re: Berry - Touraine Mer 28 Oct 2009 - 22:53

Mouarf le Poilu ^^

Un discours de la Duchesse de Bourgogne avant l'annonce royale :

Citation :: — Peuple de Bourgogne, ce jour marque le début d'une ère nouvelle. D'aucuns prétendront que c'était prévisible et ils auront raison. Certains diront que ce n'est pas trop tôt et ils auront raison. D'autres enfin resteront là, indifférents et ils auront tort. Ils auront tort car jamais encore la Bourgogne n'avait décidé de briser les chaînes l'attachant plus ou moins contre son gré au Berry. Ils auront tort car ce qui s'annonce nous touchera tous, sans distinction. Ils auront tort enfin car qui aime la Bourgogne, qui respire la Bourgogne, qui vit la Bourgogne ne peut rester indifférent à sa destinée.
Pour comprendre ce qui a provoqué cette décision qui a germé il y a des mois de cela, avant même que je n'ai le bonheur de m'installer icelieu, cette décision peu facile mais nécessaire, il est important de revenir sur les événements récents.

Dans la nuit du 1er au 2 octobre 1457, deux armées battant pavillon berrichon ont pénétré sur le sol du Duché de Touraine. Cette entrée jusqu'à la bonne ville de Loches n'était rien de moi qu'une intrusion car jamais la Duchesse de Touraine n'a donné son accord pour ce faire. Le Duc du Berry, Sa Grâce George le Poilu a motivé cette intrusion par le fait que le Bourbonnais-Auvergne se serait introduit chez lui et par la présence à Loches des malandrins et faquins de l'armée de la " Zoko ad æternam " . Cette troupe de brigands, hélas, nous en la connaissons que trop car c'est elle qui a semé chaos et désolation en Bourgogne, en juillet dernier, c'est elle qui s'est alliée aux hérétiques cafards du Lion de Juda. Je me suis émue de la présence avérée de ces graines de potence en Touraine et nulle réponse satisfaisante ne m'a été donnée. La Bourgogne a choisi de ne pas condamner l'acte de son allié berrichon faute d'explications suffisantes et en raison d'une perplexité plus que légitime. L'Alliance du Centre regroupant les provinces du Bourbonnais-Auvergne, du Limousin et Marche, du Périgord-Angoumois et de la Touraine ne s'est pas plus prononcée sur la présence de la Zoko... Zoko combattue par l'armée du Bourbonnais-Auvergne venue soutenir la Bourgogne. Il convient enfin de noter que lorsque la Champagne a décidé d'entrer en Artois quelques semaines plus tôt et cela sans la moindre autorisation, le silence a été plus qu'assourdissant... deux poids deux mesures donc?
Le 2 octobre 1457, le Duché du Bourbonnais-Auvergne déclare la guerre au Duché du Berry.
Le 4 octobre 1457, le Duché de Touraine dépose un ultimatum au Duc du Berry afin que celui-ci retire ses troupes et ce, dans un délai de quarante-huit heures, se réservant la possibilité si les troupes berrichonnes ne se retiraient pas de déclarer la guerre au Berry. La Bourgogne par ma voix a signifié au Bourbonnais-Auvergne ne pas vouloir entrer en guerre, a réitéré son amitié à son voisin du sud-ouest et s'est proposée comme médiatrice entre le Berry et l'Auvergne.
Le 6 octobre 1457, le Duché de Touraine, prenant acte du refus du Berry ne pas retirer ses troupes a fait appel à ses alliés de l'Alliance du Centre. Dans le même temps, l'on se rend compte qu'une armée battant pavillon angevin se trouve à Chinon.
Le 7 octobre 1457, la Bourgogne et la Franche-Comté, alliés fidèles, publient une déclaration commune exprimant des regrets quant à l'attitude berrichonne, la condamnation de l'alliance entre la Touraine et la Zoko et un rappel de la proposition de médiation de la Bourgogne.
Le 9 octobre 1457, la Touraine réitère son appel à destination de l'Alliance du Centre et en lance un autre vers la Couronne de France. Etrangement, elle pointe du doigt la supposée neutralité de la Bourgogne, s'en moquant même ouvertement.
Le 10 octobre 1457, la Bourgogne, par ma voix, fait réponse à la Touraine en indiquant que la Bourgogne a choisi le camp de la paix, que ce choix n'a rien de neutre et que ce choix elle n'en a pas honte. Et je n'en ai pour ma part toujours pas honte. Je sais que cela a étonné, j'ai été tour à tour accusée de ne pas honorer le traité nous liant au Berry, de faire montre de couardise et de ne pas me positionner clairement. Mais, et je n'en démordrai pas, ce choix, début octobre était ce qu'il valait mieux à la Bourgogne qui est en proie à des difficultés financières connues de tous et qui était, qu'elle le veuille ou non, liée au Berry. La décision n'était pas simple et j'ai chois de gagner du temps, pour la Bourgogne et vous avant tout; après tout, cette guerre ne nous concernait pas, quoiqu'on en dise. Ce choix de paix et de médiation, j'ai dû en supporter les conséquences : insultes, diffamation, accusations de traîtrise... Je les ai supportés car seuls les intérêts de la Bourgogne comptaient à mes yeux.
Il convient de noter que durant tout ce temps, l'identité des assaillants berrichons est dévoilée : Bretons, brigands ayant sévi dans le troublé sud ouest du Royaume de France...
le 10 octobre 1457 toujours, l'Anjou déclare vouloir se retirer de Touraine et rendre la mine prise à la condition expresse de voir la sécurité de ses ressortissants assurée. Les Bretons quant à eux ont indiqué soutenir le Berry, ne pas vouloir se mêler des affaires en cours et être choqués des accusations d'ingérence portées à leur encontre.
Le 11 octobre 1457, le Comté du Poitou, récemment sorti de l'Alliance du Centre prend position : fermeture totale des frontières, interdiction du territoire à tous les belligérants, appel à la paix et proposition de médiation. Le Poitou lui, contrairement à la Bourgogne, ne s'est pas vu moqué pour sa volonté de ne pas prendre part au conflit en cours. Le Duc du Berry déclare pour sa part se retirer de la Touraine en espérant une... amélioration des relations et en appelle au Limousin pour savoir quand celui-ci entrera en guerre.
Le 13 octobre, le Duché de Touraine fait étalage de ses exigences au Duché d'Anjou qui se voit interdire de positionner une armée à la frontière avec la Touraine, une paix immédiate avec le Bourbonnais-Auvergne et le retrait du soutien tant financier, logistique et moral au Berry. Ce même jour, la Bourgogne réitère sa proposition de médiation et suggère l'idée d'une trêve.
Le 13 octobre encore, l'Alliance du Centre prend enfin position et exige réparation pécuniaire du Berry : 50 000 écus, ni plus et certainement pas mois ainsi que la démission du Duc du Berry, réponse étant exigée sous vingt-quatre heures
Le 17 octobre 1457, le Duc du Berry fait parvenir missive publique à mon intention, missive dans laquelle il s'en prend à la Bourgogne.
Le 18 octobre 1457, je lui fais réponse publique, marquant là le début de la rupture.

Elle marqua une pause, quelque peu à court de souffle. Ce long rappel avait été exigeant mais elle se devait de le faire afin d'expliquer ce qui allait advenir. Sans même prendre la peine de se désaltérer, elle reprit :
— Depuis, les troupes de l'Alliance du Centre ont pénétré en Berry et, suite à l'appel de la Touraine vers Sa Majesté Levan III de Normandie, Roi de France, les Ordres Royaux et des hommes du Domaine Royal ont fait le déplacement.
Il est important de comprendre deux choses. Tout d'abord, la Bourgogne n'a eu de cesse de promouvoir la paix et de tenter de raisonner son allié berrichon et son ami auvergnat. Las, ces efforts en faveur d'un règlement à l'amiable ont échoué et la position de la Bourgogne, méconnue. Le Berry, peu satisfait que son allié bourguignon refuse d'entrer en guerre montre désormais les dents, nous taxant de couardise et d'hypocrisie. Mais de couardise point, cette guerre n'est pas la nôtre, jamais nous n'avons donné notre accord, d'hypocrisie point car nous avons on ne peut plus clair : le Berry a manifestement agressé la Touraine et notre traité ne nous oblige quand qu'en cas d'agression commise envers le Berry.
Second point, il ne faut pas oublier que les liens entre le Berry et la Bourgogne étaient fâcheusement distendus depuis des mois maintenant. Ce traité n'avait de traité que le nom, dans les faits, il ne valait rien.

Sa voix se fit plus dure tandis que sa main brandissait un parchemin comme elle aurait agité les hardes d'un lépreux. Elle répéta :
— Ce traité ne valait rien et jamais personne n'a pensé à le dénoncer. Il y a bien eu de petits phrases, de petites piques mais avant ma déclaration du 18 octobre, jamais la Bourgogne n'avait à ce point prouvé qu'elle se passerait de son alliance avec le Berry.
Et pourtant, que de vexations, que de mensonges, que de tromperies, que de moqueries, que de duplicité! L'avant-dernière insulte en date? L'absence d'aide du Berry ce mois de juillet alors que la Bourgogne était en proie aux brutes de la Zoko, ces brutes que le Duc George a tout d'un coup décidés d'allier châtier en Touraine, envoyant là-bas des rebuts qui ne valent pas mieux que ces Angevins de malheur! Et que répond ce duc? Que la Bourgogne a refusé l'aide! Et pourquoi aurions-nous dû accepter alors que ce pendard berrichon, ce jean-foutre du diable a laissé passer les troupes de la Zoko sans même nous avertir!
Et oui, avant-dernière insulte en date car ce jeudi, nouvelle ignominie, une armée battant pavillon berrichon a pénétré sur notre territoire! Cette armée n'avait nulle droit de fouler notre sol et elle l'a fait, prenant la Bourgogne pour une aire de jeu, méprisant notre souveraineté et notre libre-arbitre. Et car cet emplumé de malheur a décidément tous les vices, le chef de l'armée berrichonne n'est autre que ce vil Gmat de Cianfarano, celui-là même qui en juillet combattait aux côtés de la Zoko afin de terroriser la Bourgogne.

Alors! Alors, je prends mes responsabilités, je vais faire ce que personne n'a encore fait, ce qui aurait dû être accompli bien avant! L'on m'a reproché de dialoguer, oui dialoguer et non promettre, avec le Duc George mais qui a fait quoi que ce soit pour rompre cette intolérable alliance?

Ses deux mains agrippèrent le parchemin, copie du traité passé entre la Bourgogne et l'Anjou et elle déclara :
— Moi, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, vingt-troisième Duchesse de Bourgogne, sous le regard du Très-Haut et de Saint Bynaar, devant vous, fier peuple de notre duché ainsi outragé, dénonce officiellement le traité liant la splendide Bourgogne au Berry corrompu de George le Poilu! Je déclare que l'alliance existant entre nos deux duchés n'est plus!
Elle quitta le pupitre et se mit sur le devant de l'estrade. Là, symboliquement, elle déchira en moreaux le vélin que ses mains cramponnaient, laissa les lambeaux choir sur le sol parqueté de l'estrade et marcha ensuite dessus. Elle ajouta :
— Nul ne se moque impunément de la Bourgogne. Nul ne l'outrage et la flétrit sans en supporter les conséquences.

Voilà, c'est fini. C'est ce qui lui vint à l'esprit tandis qu'elle faisait quelques pas, songeuse.
Calmant d'un geste le grondement qui montait, elle poursuivit :
— Nous voilà entrés dans une période nouvelle, forcément porteuse de doutes, féconde en questions et en craintes. Mais, retenons que nous sommes libérés de ce carcan qui oppressait la Bourgogne depuis bien trop longtemps, retenons que nous sommes maîtres de notre destin.
Aujourd'hui, en ce jour de changement de cap, la Bourgogne a plus que jamais besoin de vous.
Besoin de vous pour protéger ses bonnes villes.
Besoin de vous pour assurer sa subsistance.
Besoin de vous pour venger l'outrage.
Besoin de vous pour gonfler les rangs de ses combattants et défenseurs.
Nombreux sont ceux, sous l'impulsion de leurs maires, de leurs amis, de leurs responsables se sont mobilisés et travaillent en leurs échoppes pour assurer la subsistance de ceux qui prendront les armes. L'Ordre de la Toison d'Or, par la voix de son Grand Maître et de Sa Chancelière, s'organise. L'Ost de Bourgogne est en alerte. La noblesse es également présente.
Cet élan du cœur, de l'âme, ne doit pas faiblir et j'en appelle à ceux qui ne se sont pas encore décidés.

La Bourgogne a besoin de vous dans son armée, dans ses échoppes et dans ses mines : armée pour combattre, échoppes pour nourrir les défenseurs, mines pour assurer la prospérité du duché.
Rejoignez-nous, participez à l'effort, engagez-vous pour votre terre, pour vos amis, pour vos enfants, pour votre cœur, pour votre sang!

Sa main droite, machinalement, s'était portée sur le pommeau de l'épée qui battait contre sa jambe gauche alors qu'elle exhortait la foule. Au fur et à mesure de son appel, elle sentait cette main s'accrocher de plus en plus fort à cette épée qu'elle portait pour le Très-Haut mais qu'elle ne pouvait utiliser. Mais cela, en cet instant, n'avait pas la moindre importance et l'agrippant davantage encore, elle finit par la sortir. Lame nue pointée vers le soleil qui la faisait briller de mille feux, elle scanda avec force la devise bourguignonne :
— Montjoie! Saint Bynaar!

Sujet: Re: Berry - Touraine Ven 30 Oct 2009 - 1:09

Citation :: ce 28 octobre de l'an de Pâques 1457, le conseil ducal a décidé de voter la loi suivante

vu les blessures du Duc George et son impossibilité à régner
vu la situation exceptionnelle de guerre que vit le Berry

Nous décidons d'élire pour un mandat de 60 jours le Duc Thomas de Clérel à la fonction de Duc de Berry.

Un gouverneur sera élu à bulletin secret d'ici 24h pour l'assister dans la gestion quotidienne du duché.

le gouverneur gèrera les aspects judiciaires, économiques et l'administration ducale.

Le duc de Berry Thomas gèrera la diplomatie, les relations étrangères et parisiennes, les forces armées, les relations avec la noblesse et la ratification des traités validés par le conseil ducal

Citation :: Nous, Thomas de Clérel, Duc de Berry et de Dun-le-Roy, Pair du Royaume de France,

à tout ce qui présent écrit verront,

Salutations,

Faisons savoir que dès le gouverneur du Berry aura été nommé par le conseil ducal berrichon, le Duc George Poilu sera exclu du conseil ducal.

Fait à Bourges le 29 Octobre de l'An de Pâques 1457.

Mouarffffffff, nu comme un ver il va finir ^^

Félon, viré de son conseil Very Happy

Le nouveau conseil du Berry

Le 29 octobre 1457

Citation :: Le conseil du Comté

Thomas de Clerel (comte)

Nephertiti (gouverneur)
Georgepoilu
Bubul27 (Connétable)
Renlie
Berruyer (Procureur)
Horvy (Porte-parole)
M1ne (Prévôt des maréchaux)
Asterie (Bailli)
Whoopie60 (Juge)
Goisse
Vroqu
Ouf!!

Sujet: Re: Berry - Touraine Lun 2 Nov 2009 - 10:56

Le Berry capitule.... plus que 3 villes

Bourges (197)
Saint-Aignan (310)
Sancerre (291)

Le conseil :

Comte: Nephertiti (FIER)
Porte-parole:
Juge: Whoopie60 (FIER)
Procureur: Berruyer (FIER)
Prévôt des maréchaux: M1ne (FIER)
Capitaine:
Connétable: Bubul27 (FIER)
Bailli: Asterie (FIER)
Commissaire au commerce: Renlie (FIER)
Commissaire aux mines:
Conseiller: Ouf!! (FIER)
Conseiller: Vroqu (FIER)
Conseiller: Goisse (FIER)
Conseiller: Horvy (FIER)

Sujet: Re: Berry - Touraine Mer 4 Nov 2009 - 17:32

Je pense qu'on peut clore le sujet

Sujet: Re: Berry - Touraine Mer 4 Nov 2009 - 23:58

Ouverture des négociations pour aboutir à la paix entre le Berry et l'ADC.

Les discussions se déroulent au Chateau de l'ADC.

Sujet: Re: Berry - Touraine Lun 9 Nov 2009 - 0:56

La Bourgogne a rompu son alliance avec le Berry.

Citation :: 07-11-2009 : [Alliance Du Centre] La Bourgogne rompt son alliance avec le Berry[+]

Dijon (AAP) - Sa Gracieuse Eminence, Ingeburge von Ahlefeldt Oldembourg, Cardinal Connétable de Rome et, pour un second mandat consécutif, Duchesse de Bourgogne, s'est distinguée une fois encore de ses prédécesseurs et des feudataires de France. Alors que tous ses voisins sont à la guerre et à l'offensive contre le Berry, la Bourgogne est à la diplomatie et la défense de son intégrité territoriale.

Le 26 octobre de l'an de grasce mil quatre cent cinquante sept, en place publique devant un parterre de Bourguignons, dont quelques membres imminents de la noblesse du dit Duché, la Duchesse de Bourgogne a choisi la rupture.
Dans un discours fleuve, dont nous vous retranscrirons l'intégralité en fin d'article, sa grasce a décidé de rompre l'Alliance unissant son duché, la Bourgogne, et celui de Georges le Poilu, le Berry.

Son allocution a tout d'abord commencé par un rappel des faits. Il fût fait état des missives échangées avec les feudataires de France Berrichon & Tourangeau, entre autres. Rappel fut fait de la position pacifique qu'arborait le Duché de Bourgogne.
La duchesse a justifié son choix de par les actes de Georges le Poilu, alors Duc du Berry. Elle le fait tout en précisant que la brouille diplomatique entre les deux duchés frontaliers n'est pas récente mais, ancrée dans les esprits de chaque bourguignons. Cette rupture se veut avant tout un refus de collaboration avec Georges le Poilu et son administration, plutôt que les berrichons. Asile et main tendue sont à leur disposition s'ils le souhaitent.

Ensuite, Ingeburge von Ahlefeldt Oldembourg a sensibilisé les habitants de Bourgogne à la prudence, à l'union face aux évènements qui allaient suivre. Une défense accrue serait nécessaire a t-elle précisé. La question d'un membre de l'assemblée était de savoir si, de ce fait, la Bourgogne était en guerre. Ce à quoi la Duchesse a répondu que non, elle ne l'était pas, elle n'était que "juste plus vulnérable", ses frontières hypothétiquement menacées par le Berry et une armée de Brigands non loin.

A la fin de son discours, c'est un puissant "Montjoye Saint Bynarr" qui retentit et que bien sûr, toute la foule présente reprit en cœur.

Pour l'AAP

Source : La gargote Bourguignonne : [RP] Le Berry, la Bourgogne... voilà, c'est fini
Le discours prononcé en intégralité (Visible dans "Best Of - Role Play".) :