Le château de Pau ce dressait sous le merveilleux nez de notre unique Vipère. Perchée sur le dos de Serko, la religieuse ne pu que sourire devant tant de souvenir. C'est qui qu'elle avait signée son premier Concordat, ici qu'elle est Bushiro s'étaient alliés pour le bien d'un Peuple, la satisfaction d'un conseil. Le genre de souvenir qu'on oublie pas ou très peu. Mais aujourd'hui sa présence semblait moins drôle, moins amusante, moins réjouissante également. Une histoire de réformés... Elle hésita entre sourire ou soupir, entre l'envie de les rencontrer et celle de leurs faire comprendre... Sans trop pouvoir dire pourquoi, ses doigts passerait sur le haut de son décolletée et elle caressa du bout de ses doigts gantée de blanc un parchemin plié soigneusement et caché là. Elle était arrêter fixant le château et regardent le ciel.
Que cherches-tu à me dire ? Hein... tu es bien mystérieux mon ami, aurais-je un jour le loisir de comprendre la route que tu me trace ? Ou dois-je vivre sans savoir ou j'irais ?
Elle soupira, car finalement cela ne la dérangeait pas tellement, oh bien entendu parfois elle aurait aimée savoir, parfois elle aurait aimée prévoir, parfois elle aurait aimée, aimer. Bref elle n'avait point le temps d'attendre et ne voulais pas faire attendre les autres également. Alors avec une tape légèrement sur son étalon décida de rejoindre les grilles au galop s'il vous plait. Une fois devant la garde, elle resta haut perchée et s'annonça.
Monseigneur la Vi...père, Typhanie Casavecchi-Nolliver, pourriez-vous m'annoncer je vous prie. Il me semble être attendue.
Espérons-le, des jours de voyage dans des auberges douteuse pour rien ? Très peu pour elle.