[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces

Citation :

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Limousinblason

De Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche,
A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

Respectueuses salutations.

Rédigé et scellé à Limoges, le douzième jour de juin mil quatre cent cinquante-neuf.
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[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Sceaucomtelimousinjaune

Chic, merci Comtesse je transmets !

Citation :: Au Duc de Touraine,
Au Chancelier de Touraine,
Aux Ambassadeurs,
Aux membres de l'Alliance du Ponant
Aux Artésiennes et Artésiens
A celles et ceux qui liront ou se feront lire ,

Nous, Crysline, Comtesse d'Artois, annonçons que :

La Touraine, représentée par le Sir Ludwig, a rompu la discussion diplomatique sur la sujet de l'agression de nos compatriotes et a expulsé notre chancelier de la salle des discussions sans aucun ménagements. Dans le même temps, toutes les clés lui ont été retirées, en fermant l'ambassade Artésienne sur le sol toureangeau.

Nous constatons que ce duché continue de préférer la voix des armes plutôt que celle de la diplomatie. Par conséquent, nous fermons notre Palais de St Vaast à tous les diplomates tourengeaux et demandons leur retour chez eux.

Que ceci soit su et reconnu.

Faict à Arras, le 14ème jour du mois de Juin de l'an de grâce 1459.

Crysline,
Comtesse d'Artois.

Citation :

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Entetebourgogneombre

Au peuple du Périgord-Angoumois,
Salut.

C'est avec affliction et colère que nous avons appris l'attaque du château de Périgueux par des pillards et la prise qui en a résulté.

La Bourgogne condamne avec force et détermination cette action qui a plongé la province périgourdine dans le désordre à l'aube de la désignation d'un nouveau régnant, ce qui souligne combien rien n'arrête, même pas le vote souverain du peuple, la cupidité et la déloyauté de ces malandrins désertés par l'honneur et dévorés par l'envie et la gourmandise. Nous assurons également, dans le même mouvement, le Périgord-Angoumois et ses habitants de notre profonde amitié et de notre sincère solidarité.

Et parce que les mots, face à ces brigands irrespectueux qui n'ont d'ouïe que pour le bruit mat de d'or, ne sont pas suffisants, la Bourgogne s'engage à tout mettre en mesure pour assister le Périgord-Angoumois dans son châtiment de ses attaquants.

Ainsi, nous, Lenada de Valmont, duchesse de Bourgogne, savoir faisons :

que nous avons appelé notre ost et notre prévôté à la plus grande vigilance afin que ces gibiers de potence soient repérés dès lors qu'ils fouleraient le sol bourguignon;

qu'en regard du traité d'amitié liant nos deux provinces, si jamais un des coupables devait être appréhendé sur notre sol, nous engageons à coopérer judiciairement, que ledit coupable soit vif ou à peine frémissant de vie;

que nos soldats ont reçu pour ordre ferme et définitif de combattre jusqu'à la mort les responsables de la prise du castel pétrocorien si ceux-ci osaient entrer en Bourgogne.

Le dixième jour de juin de l'an de grâce MCDLIX :
La duchesse d'Auxerre, porte-parole, inspirée par la princesse de Chantilly, a rédigé;
La duchesse de Bourgogne, souveraine en ses terres, de sa signature et de son sceau a ratifié.

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Lenasign1

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Bourgognejxg4

Citation :

Bonjour Comtesse

Moi leepo , Duc de Guyenne , vous envoie cette missive pour vous avertir que les routes de Guyenne vont être arpenter par les Armée de Guyenne pour un grand nettoyage Et que tous voyageurs le ferais a ses risque et péril ..Veuillez en informer vos sujets , nous n'aimerions pas que certain en patissent .

Voici l'annonce .

Citation :: Nous Leepo, Duc de Guyenne

Au vu des menaces se précisant pour la sécurité du Duché et de nos villes.
De mouvements suspects.
De troupes de brigands et de mercenaires étrangers en nos terres et de la menace qu'elles font peser sur notre capitale et nos villes.

Nous informons que les routes de Guyenne seront fermées et impraticable pour tous voyageurs qu'il soit Guyennois ou étrangers .Que les armée de Guyenne seront les seules à pouvoir se déplacer et seront autorisée à arrêter par n'importe quel moyen toutes personnes qui se trouveraient sur les routes de Guyenne.

Nous invitons tout étranger à se signaler à la prévôté pour sa propre sécurité dans les plus brefs délais.

Que tout étranger arrivant sur le sol Guyennois le fera en connaissance de cause au risque de sa sécurité.

Nous invitons tous les hommes valides de Guyenne à participer à l'effort de défense de notre capitale et des autres villes de Guyenne et a proposé son aide à l'Ost pour éliminer la vermine se promenant sur nos routes.

Ceci prendra effet le seizième jour du mois de Juin 1459 et ce jusqu'à nouvel ordre.

Que la grâce du Très Haut veille sur ses valeureux enfants de Guyenne.

Scellé a Bordeaux le quinzième jour de Juin de l'an de grâce 1459..

Salutation

Leepo Do Urden
Duc de Guyenne

J'ai reçu ceci, je ne sais pas si vous l'avez également reçu donc je l'affiche.

Citation :: A tous,
A toutes les provinces,
A tous les habitants du royaume de France, de Bretagne et aux provinces voisines.

Oui, economiquement nos provinces sont victimes de la faible natalité commune aux provinces de nos royaumes.

Oui, il n'est plus possible de vivre comme avant.

Oui, il ne va plus être possible a ceux de Paris de diriger comme avant.

Nous entrons en période electorale au niveau du royaume.

C'est pas une mauvaise période pout parler d'orientation.
Nous nos prononçons pour l'elaboration d'un cahier de doléance envers Paris.

Nos provinces souffrent, toutes nos provinces souffrent.

Nos provinces souffrent de manque de natalité et de pauvreté, pendant ce temps Paris se complet dans l'opulence.

Indignons nous !

Nous nos prononçons pour la suppression des repas du Roy, excès d'une période de richesse révolue.

Nous demandons à sa majesté Béatrice, Reyne deFrance actuelle de faire cesser immediatement l'habitude d'en faire payer le prix par les provinces.

Au moins elle laissera un souvenir de son passage sur le trone de France.
Nous demandons à ceux qui postulent pour faire mieux d'en prendre l'engagement.

Nous nous prononçons a ce que soit supprimé le gaspillage dû a Paris, on ne gaspille pas nous, on a pas les moyens.

Nous demandons a ce que soit prorogé au de là du premier Janvier prochain l'aide des spécialistes de Paris chargé de veilleràa empecher la perte de niveau des mines bien entretenues.

Nous demandons a ce que Paris mette en avant une vaste campagne présentant la qualité de vie dans notre royaume.

Je propose à l'ensemble des habitants d'Armagnac:

- d'étoffer ce cahier de doléance.

- de soutenir cette action et de le faire connaître partout en france en l'envoyant a ses amis et même a ses ennemis.

- de participer a la plus grande manifestation à Paris jamais organisée dans notre royaume

Il nous reste a donner de l'echos à cette manifestation.

Du pain et des roses pour tous !

Tous à Paris.

philipaurus Mattei dénéré dit le Lude

J'allais faire pareil...

Reçu oui.

Reçu aussi

lanfeust86 a écrit:

Citation :: Au Conseil Ducal du Bourbonnais Auvergne,
Au Garde des Sceaux, Messire Koslov de Vladivostok,

De Lanfeust de Troy, Chambellan du Bourbonnais Auvergne.

Devant la façon dont les diplomates sont écartés de ligne diplomatique par notre Duc concernant la future alliance.
Devant la façon dont le travail de diplomate est dénaturé, ne servant plus qu'à abroger des traités et ternir des relations amicales.
Devant la façon dont le Duc a manqué de respect envers les diplomates commençant son discours sans réunir un seul diplomate contrairement aux autres institutions.

Nous prenons la décision de démissionner de toutes nos fonctions au sein de la Chancellerie :

Chambellan du Bourbonnais Auvergne
Consul de la Zone Sud Est
Conseiller Diplomatique auprès de l'Union des Deux Fleuves
Ambassadeur au Rouergue
Ambassadeur en Provence
Ambassadeur à Gênes

Afin que nul ne puisse contester notre décision.

Ecrit et sceller à Clermont, le dix sept juin mil quatre cent cinquante neuf.

Dardus a écrit:

Citation :: A la Noblesse de Gascogne
Aux porteurs de toison
Aux Gascons
A nos alliés
Aux feudataires
A tous y-ceux et y-celles que ce présent escrit liront ou entendront

Par la présente, Nous, Kassandra du Champ Frisé Von Wittelsbach, DUchesse de Gascogne
A tous ceux qui liront ou se feront lire,
Peuple De Gascogne
Annonçons ce qui suit :

A compter de ce jours et ce jusuq'à nouvel ordre , l'Université de Gascogne ferme ses portes.
Puissent ces paroles être entendues et acceptées de tous,
En vous remerciant de nous avoir lue.

Kassandra du Champ frisé Von Wittelsbach, Duchesse de Gascogne
Au château de Mont de Marsan le septieme jour de Juin 1459.

Citation :: A la Noblesse de Gascogne
Aux porteurs de la croix de Gascogne
Aux Gascons
A nos alliés
Aux feudataires
A tous y-ceux et y-celles que ce présent escrit liront ou entendront

Par la presente nous nous excusons aupres de vous pour le manque des annonces en rapport avec l'affichage des votes au chateau concernant la levée des impots qui sera à compter du 15 juin de 7 ecus sans compter que la reduction de 15 % que beneficiaient les mairies est reduite à 5%.....

Mais aussi à compter de ce lundi, tous navires se trouvant dans le port de Mimizan ou bien celui de Bayonne devra s'acquitter d'une taxe de 3 ecus

Puissent ces paroles être entendues et acceptées de tous,
En vous remerciant de nous avoir lue.

Kassandra du Champ frisé Von Wittelsbach, Duchesse de Gascogne
Au château de Mont de Marsan le dixieme jour de Juin 1459.

Citation :: Avis à la populace gasconne ;
à tous les étrangers possédant des Laisser-passer ;
et aux autres considérés comme des troubles fêtes ;

Adishatz.

Afin d'assurer au mieux la défense du territoire,

Autorisons, le Seigneur de Campagne, Chevalier_dide, a constituer une armée privée ;
Considérons l'armée "Les Aigles Renaissent" dirigée par Feignant comme armée ducale.

Faict en Lo Moun le treisieme jour de l'an de grace 1459
Kassandra Von Wittelsbach, Duchesse de Gascogne

Citation :: Au Commandant Feignant,

Adishatz.

Des navires pirates ont été détectés par l'Amirauté. Je vous demande donc de rassembler vos hommes.

Comme prime mission, vous êtes chargé de sécuriser le Port Valent et d'exécuter tout pirate tentant d'y pénétrer.
Je vous demande, dans la mesure du possible, d'en capturer seulement deux ou trois. Nous les pendrons en place publique afin que tous les troubles fêtes sachent ce qu'ils risquent en venant chez nous.

Afin que tous sachent que la Gascogne ne laissera aucun homme mal intentionné en vie, cette missive a été copiée et affichée en gargote.

Rédigé & scellé le 13ème jour de juin de l'an 1459,
par moi, Sire Warthe de Rochechard, Capitani per Gasconha.

Kassandra Von Wittelsbach, Duchesse de Gascogne

Citation :: Avis à la populace,

Afin d'assurer au mieux la sécurité du duché,
Pour que la communication soit plus efficace,

Le Sieur Sebastian est chargé d'aider le Commandant Feignant et d'assurer la défense mimizannaise.

Rédigé et scellé au Fort de l'Ost le 16ème jour du mois de juin de l'an 1458,
Sire Warthe de Rochechard, Capitani per Gasconha.

Citation :: 21-06-2011 Le Royal, Fortune de mer
Holywell (AAP) – Le Royal Fortune était un mauvais marcheur, affrété par la compagnie Bartholomey. Alors qu'il régatait en mer d'Alboran, il avait été attaqué par le pirate Guilhain sur le V3 (voir article AAP du 27 décembre 1458, "bain de sang dans l'Atlantique"). A l'époque, la participation de la Bretagne, à l'achat par ce pirate d'une nave génoise de combat était soupçonnée, ce type de navires n'étant vendu qu'à des duchés et non à des individus.

Le timonier du Royal Fortune, James Skyrme, avait juré de se venger. De Guilhain d'abord, puis de la Bretagne, car le fait que la Bretagne se soit portée garante pour que Guilhain obtienne son navire a été confirmé par plusieurs sources. Le 2 mai 1459, le port de Vannes était vide, le Grand Duc ayant demandé au chef de port de l'époque de faire couler le V3 qu'il trouvait "incontrôlable" selon les dires de Braveheart. Assommant le chef de port, enlevant son épouse, Skyrme prit le contrôle d'une cogue de guerre tout juste sortie des chantiers navals de Vannes, la renomma "Good Fortune", et tira sur le V3, sans réussir à le couler. Il prit le large avec ses proies (un bâtiment de guerre et une femme sans défense).

Le vol fut revendiqué par un courrier adressé au chef de port, comme étant une revanche pour le dommage occasionné par Guilhain au mauvais marcheur des mois auparavant, dommage cautionné par la Bretagne.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Le 4 juin, le Grand Duc Elfyn accorda une interview à l'AAP, expliquant que le voleur agit "contre la Bretagne et ses forces navales" (voir article AAP du 4 juin 1459 "Itw d'Elfyn sur la politique marine bretonne"). La Bretagne envoya donc très logiquement ses "forces navales" après le navire volé. Les navires croisant vers la Guyenne purent ainsi voir le V3 de Guilhain explorant les côtes aquitaines. Au même moment, les pêcheurs rapportaient que deux navires sans pavillon, le Good Fortune de facture bretonne et le Royal Fortune, de facture italienne, naviguaient vers Ouessant.

Pourquoi les côtes aquitaines ? Nombreux furent les marins se posant la question, puisque le navire volé avait été vu à l'opposé, allant ver le nord. Ils eurent une première réponse lorsque le 9 juin un navire marchand, appartenant au breton Riwan Nathan de Brocéliande, sombra dans le port de Mimizan. Bien entendu la Bretagne nie toute association avec Archange1er ou Enguerrand, capitaines de l'Etoile Céleste, qui avait forcé un accostage dans le port tout proche de la teste de Buch quelques jours auparavant. Le 14 juin, c'est la cogue de guerre grand ducale bretonne, Duché1, qui se présentait devant le port de Mimizan, escortée de la cogue de guerre Tiad Ervoas pilotée par Grand_Sage, et la nave de combat de Guilhain. Le 16 juin, la cogue grand ducale bretonne avait forcé l'accostage et était à quai. Le maire de la ville précise à ses administrés : "Le port de Mimizan est actuellement le siège de plusieurs navires venant de Bretagne. Le navire gascon, la Sirène Gasconne du Capitaine Zigom, a été sévèrement touché et a du se retirer en cale sèche."

Tandis que les bretons tapent sur des navires marchands gascons et normands dans le port de Mimizan, le Good et le Royal Fortune, enregistrés à la Bartholomey Company, naviguent sous pavillon de la navy du Westmorland. Pour combien de temps ?

Dauphin, pour l'AAP.

Citation :: 21-06-2011 Chroniques judiciaires de juin 1459
Paris (AAP) - La nomination d'un nouveau chancelier, de nouvelles têtes à la Cour d'Appel, la démission des membres controversés : autant de mesures qui laissent présager une relance de l'appareil judiciaire royal.

Retour sur les événements passés. Depuis janvier 1458, aucun relaxé de la CA n'était remboursé et ce à cause d'un problème d'application des verdicts. En effet, rien n'était prévu ni par le Royaume ni par les Duchés et Comtés pour résoudre ce problème. C'est pourquoi, les officiers de la CA, menés par leur président Hugo de Cornedrue-Angillon s'étaient mis en arrêt en juin.

Après quatre mois d'attente, la Cour reprit ses activités par la nomination d'un nouveau corps magistral, ainsi que par la publication de la Charte de Bonne Justice œuvre de l'ex-juge Xollir d'Enparlëor. Parallèlement, sous l’impulsion de la Comtesse Adrienne de Hoegaarden, alors vice présidente, la Chambre des Exécutions fut créée et confiée au Vicomte Mc Legrand, alors Grand Audiencier.

Après cinq mois de tranquillité, et deux nouvelles présidentes, la Comtesse Adrienne de Hoegaarden puis la Vicomtesse Lafred Van Artevelde, la foudre retomba sur l'office. En effet, le Chancelier, Grégoire d'Ailhaud, dict Thegregterror et la Reyne de de France, Béatrice de Castelmaure-Frayner désavouèrent publiquement leurs officiers et un conflit opposa dès lors la CA aux instances supérieures.

En fait, ce fut la nomination en tant que procureur adjoint du très controversé Bazin, personnalité connue pour ses nombreux procès et ses toutes aussi nombreuses relaxes en Cour d'Appel, qui provoqua cette crise institutionnelle.

Alors les événements s’enchaînèrent, le chancelier révoqua Bazin tout comme le Procureur Général, Jason de Prie-Montpoupon, Baron de Sainte Maure, et imposa que toute nomination en Cour d'Appel soit validée par ses soins, procédure qui allait à l'encontre des statuts de la Chancellerie.

Une saisine fut alors déposée à l'encontre du chancelier par le procureur général, immédiatement suivie par une lettre de la Reyne, dans laquelle elle critiqua le travail des officiers de la CA remettant en cause leur bon sens. Elle leur reprocha de ne pas avoir vérifié les antécédents du Sieur Bazin, et d'avoir agi avec négligence mettant ainsi le Royaume de France en danger. Ainsi, la Reyne plaçait le Chancelier de France au dessus des lois royales, l'autorisant à des actions que le propre droit royal interdit, en vertu de l'adage "qui peut le plus peut le moins".

Pour toutes ces raisons, Xollir d'Enparlëor et Lafred Van Artevelde démissionnèrent de leurs postes respectifs de juge et de présidente de la Cour d'Appel.

Quelques jours après, les Grands Feudataires du Rouergue, d'Alençon, de Bourgogne, d’Armagnac et Comminges, du Limousin et de la Marche, d'Orléans, de Champagne, de Normandie, du Languedoc, du Poitou, de Touraine, du Maine, de l'Anjou, de Guyenne, du Lyonnais Dauphiné, et du Béarn, firent paraître une lettre ouverte, notamment aux officiers de la CA, dans laquelle ils remettaient en cause la légitimité de celle ci. Paradoxalement parmi les signataires se trouvaient Salebete de Kreneg-Montfort, pilleuse de la ville de Mayenne dans le Maine, Comté du Domaine Royal, et Alizarine d'Everlange, ancienne procureur de la CA qui n'a jamais fini le procès dans lequel elle plaidait.

Au même moment, une annonce du Grand Maître de France actait la démission de Grégoire d'Ailhaud de la Chancellerie. La justice royale se retrouvait donc sans chancelier et sans président, bien que l'intérim à la tête de la CA fut assurée par la vice présidente, Terwagne Méricourt. Un nouveau Chancelier fut nommé le vingt-cinq mai en la personne du Vicomte Mc Legrand, ancien candidat à l'élection royale, mais surtout Grand Audiencier de la Chancellerie depuis plus d'un an.

Les premières mesures prises furent la promotion de la Vice Présidente à la présidence de la Cour d'Appel et un remaniement en son sein : trois juges furent remerciées, les Dames Linon et Rochelle* ainsi que le Vicomte Cerberos d'Armantia, tandis que Messires Bazin et Jason de de Prie-Montpoupon, présentaient leur démission - forcée - de leurs charges respectives. Parallèlement, furent nommés au poste de juge, Monseigneur Godgaby, dame Bettym et messires Gregoire d'Harlegnan et Jehan de Proisy-Fortunat, puis au poste de procureur adjoint, Dame Melisende560, Messire Gaultier de Ravart dit Geulederat ou GdR et Messire Ysaoth. Cependant, un retard considérable est à constater, en effet, près d'une quarantaine de dossiers sont en attente d'audience.

En sus, la Haute Cour de Justice reprend aussi vie par le lancement de deux procès, celui de la Duchesse Maltéa Wagner concernant la prise du Château de Reims du 12 décembre mille quatre cent cinquante-sept, et celui du Comte Bbred de Lortz pour non respect des lois du Languedoc concernant la nomination des conseillers comtaux.

Désormais, il n'y a plus qu'à attendre pour voir si la Chancellerie surmontera la crise institutionnelle qu'elle vient d'affronter.

L'Aurore pour l'AAP

Citation :: 22-06-2011 Le ciel, les oiseaux et la soule!
Paris (AAP) - Le printemps est bien avancé et l'été pointe déjà le bout de son nez, le beau temps revient, rien de mieux pour réaménager les terrains et reprendre l'entrainement ! Mais certains n'ont pas attendu et soulent déjà depuis la fin de l'hiver ! Voici les résultats de la première partie de la saison 1459.

Après la victoire des Flammes de Bayeux lors de la dernière Coupe de Soule Royale, c'est la jeune équipe de La Rochelle qui s'est illustrée en remportant le premier Tournoi d'Hiver face aux vieux Requins d'Amiens. Un match épique qui aura vu près de la moitié des joueurs finir à l'infirmerie! A la suite de ce tournoi, un tournoi d'été est organisé. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'à fin juin. Il y a peu de place, mais les jeunes équipes auront l'occasion de s'entrainer un peu avant le début de la prochaine Coupe de Soule Royale. Le vainqueur du tournoi d'été aura aussi l'occasion d'affronter La Rochelle pour conquérir le titre de Champion Intersaison en septembre.

Plusieurs duchés ont d'ailleurs monté leur propre tournoi ducal pour ce début de saison : le Béarn, la Champagne et le Bourbonnais-Auvergnat (B-A). Le Tournoi des trois Cités (T3C) du Béarn oppose Lourdes, Orthez et Mauléon qui est leader à mi-championnat. En B-A, la quasi-totalité des villes ont participé au tournoi : Bourbon, Moulins, Montpensier, Thiers, Polignac, Murat, Aurillac et la Tri-Entente Clermontoise. Cette dernière équipe regroupe des joueurs de Clermont (en majorité), Montluçon et Montbrisson sous les couleurs de Clermont. Aux dernières nouvelles Moulins et Thiers se partageaient la tête du classement, avec un match en retard pour Thiers, avant la dernière journée. Pour la troisième saison du championnat de Champagne, seulement cinq équipes ont participé : Compiègne, Varennes, Reims de retour à la compétition, Troyes et Argonne. Varennes a conservé son titre devant Compiègne et Troyes tandis que Reims a réussi à prendre la quatrième place devant Argonne.

Dans le même temps, le Challenge Inter-Duché a fait son chemin : le troisième tour de la compétition se déroule en ce moment même. Castillon a déjà effectué un beau parcours puisqu'elle est la seule équipe rescapée du premier tour. Lourdes n'est pas en reste, puisqu'elle a enchaîné deux victoires et est déjà qualifiée pour le quatrième tour. En revanche, La Rochelle, le champion d'hiver, a perdu son deuxième match face à Murat, sans doute bien préparé avec le tournoi du B-A. Le prochain tour verra apparaitre Moulins et Mauléon, deux gros prétendants au titre si on en croit le classement de leurs championnats respectifs.

L'été ouvre aussi de nouvelles perspectives pour la soule puisque le mercato est ouvert depuis le 15 juin. Il permet à chaque équipe officielle (comprendre qui représente une ville) en manque d'effectif, d'engager de nouveaux joueurs ne résidant pas dans la ville qu'elle représente. Un bon moyen d'avoir une équipe complète et, pour les joueurs isolés, de pouvoir pratiquer leur sport favori ! Le mercato ferme le 15 septembre, juste avant le début de la prochaine Coupe de Soule Royale qui promet d'être encore une fois un grand moment de soule.

Les inscriptions pour la septième édition de la plus grande compétition de soule ouvrent du 20 juin jusqu'au 15 septembre. La compétition est prévue pour durer d'octobre à mi-février. Les équipes auront l'occasion de se qualifier à travers quatre matchs en phase de groupe puis, le futur vainqueur devra enchaîner quatre autres victoires, sans faux pas, pour rentrer dans l'histoire ! Toute équipe représentant une ville est acceptée, il suffit d'être onze et motivé pour monter une équipe et faire briller sa ville au niveau royal voire européen. En effet, l'organisation attend cette année les participations toujours plus nombreuses d'équipes étrangères : de nombreuses équipes italiennes, quelques équipes germaniques, espagnoles et bretonnes et surtout une ou deux équipes portugaises suite à la récente création d'une fédération portugaise. A l'inverse, la fermeture d'un grand nombre de ville dans les terres anglo-saxonnes a complètement anéanti la petite fédération qui subsistait et rien ne permet de connaitre le futur de ses équipes.

Le calendrier soulesque est bien rempli pour l'été et les prochains mois risquent d'être riches en rebondissement. Pour les intéressés, toutes ces informations sont disponibles sur le forum de la Soule Royale.

S&J, pour l'AAP

Citation :: 23-06-2011 Une experience aux conséquences malheureuses au Languedoc
Montpellier (AAP) - Lundi 20 Juin, le capitaine du Languedoc, le sieur Bentich,a fait de Montpellier, la capitale du Languedoc, une ville franche.

Au matin du lundi 20 Juin 1459, alors que les habitants de Montpellier s’apprêtaient à vivre une semaine normale, uniquement marquée par la transformation du port en Arsenal, ils se rendirent compte que les portes du palais comtal étaient fermées, et que la ville était devenue franche durant la nuit, suite à la prise du statu quo par La Légion du Phoenix, l'armée du capitaine Bentich.

Les réactions ne se firent pas attendre, puisqu'en début d'après midi, monseigneur Jorocket, Comte du Languedoc, publiait une annonce dénonçant cet acte et par laquelle il destituait Bentich de ses charges de capitaine et de recteur, avant de l'inciter à réparer son erreur et à se repentir. De son côté, le maire de Lodève, le sieur Kelak, a lui aussi exprimé son mécontentement, reprochant au capitaine de ne pas avoir pesé les conséquences de son acte, d'autant que le capitaine n'avait prévenu personne de ses intentions.

En effet, en rendant franche la capitale du Languedoc, le capitaine Bentich a interrompu momentanément le fonctionnement de plusieurs institutions. Tout d'abord l'université - dont il est le recteur, ensuite la prévôté - le prévôt actuel résidant à Montpellier - qui n'a pu ni payer les maréchaux ni en embaucher pour la journée de lundi. De même, le port de Montpellier, actuellement en travaux afin d'en faire un Arsenal, était paralysé, puisque la direction du port a été automatiquement transférée au maire de la ville, qui s'en est rendu compte trop tard pour lancer les embauches quotidiennes.

De son côté, le sieur Bentich n'a pas expliqué les raisons de son acte. Selon certains témoins, il se serait excusé sur la place du marché de Montpellier, présentant ses excuses aux habitants du Languedoc et de la capitale, en parlant de cette attaque comme d'un test, sans en préciser la nature ni les résultats.

Suite à ces excuses, le comte du Languedoc, Monseigneur Jorocket, a rétabli le sieur Bentich dans ses fonctions de capitaine et de recteur le 21 juin, mettant ainsi un terme à cet épisode.

Cependant, contacté par la Rédaction, le sieur Bentich a expliqué qu'il voul[ait] tout simplement voir de [s]es yeux comment les défenses de notre belle capitale fonctionnaient, ajoutant ensuite qu'il suffisait de sept personnes pour s'emparer de la capitale du comté, ce qui prouvait la fragilité des défenses, ce qui démontrait aussi la nécessité d'une augmentation des effectifs des forces de sécurité du Comté.

Nicolas Eymerich, pour l'AAP

Citation :

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Ldave13

De Nous, Sa Grasce Arwel Chanvigny, Duchesse du Lyonnais-Dauphiné,
appuyée de son Conseil et de sa Chancellerie

A vous Dame Tatoumi, Avoyère de Genève,
À l'attention de la Confédération Helvétique, de ses Avoyers et de ses représentants,
A tous ceux qui liront ou ouïront.

Rappelons que le 8 juin dernier un navire a été attaqué et coulé par un bâtiment de guerre Genèvois. Dans un esprit de justice et non de revanche, le Lyonnais-Dauphiné a vivement réagi en demandant que le Capitaine de l’embarcation, Messire Cendres, soit traduit sans délais devant la justice Dauphinoise pour réponse de cette exaction dans un territoire neutre de tout conflit actuel. Il ne semblait en effet pas irréaliste de penser qu’une province, quelle qu’elle soit, refuserait de cacher l’auteur d’un acte de piraterie ayant eu lieu sur les terres d’un Duché actuellement en paix.

Pourtant, le Lyonnais-Dauphiné est triste de constater que devant la proposition de règlement par les tribunaux, Genève n’ait eu à opposer que le silence. Le silence devant la violation d’un territoire souverain et de son désir de justice. Un silence nous contraignant à envisager d’autres méthodes que celles de la Procure.

Dans une ultime main tendue, le Lyonnais-Dauphiné accorde un délai de 7 jours à compter d’aujourd’hui à la République de Genève pour répondre publiquement à cette déclaration et pour livrer ledit Cendres entre les mains de la justice Dauphinoise. Passé ce délai, le Lyonnais-Dauphiné considérera que le préjudice subi par son Honneur et sa Souveraineté n’est pas digne d’intérêt de la part des autorités Genèvoises. Il se considérera alors en droit d’user de tous les moyens nécessaires au rétablissement de sa dignité, y compris par les armes.

Faict à Lyon, Castel de Pierre-Scize, le vingt-sixième jour du mois de juin de l'an de grasce mil quatre cent cinquante neuf.

Sa Grasce Arwel Chanvigny, Duchesse du Lyonnais-Dauphiné

Son Excellence Tenshikuroi Deschenaux, Chancelier du Lyonnais-Dauphiné

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Tenshi2

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Tenshi2

Citation :: 26-06-2011 Du mouvement chez les Avocats du Dragon
Paris (AAP) - Après de nombreuses années sans grands changements, l'Ordre des Avocats du Dragon a élu un nouveau bâtonnier et ses locaux se sont agrandis.

Le départ imprévu de Nicolas de Firenze dans un monastère a poussé l'ordre à se doter d'un nouveau bâtonnier. Le 16 juin, la nomination d'Elisabeth Stilton de Lasteyrie est annoncée. Selon les anciens elle est la première femme à obtenir ce poste.

Des lors, de grands changements s'annoncent au sein de l'Ordre. Les statuts et le code de déontologie sont en réécriture et une revue des troupes est en cours. L'Ordre veut se doter d'avocats actifs prompts à répondre aux demandes des justiciables de France.

De plus, une bibliothèque a vu le jour afin de réunir, outre les lois locales, la jurisprudence de la Cour d'Appel et celle des Cours Locales.

Parmi les autres projets, on peut compter des rapprochements avec l'Empire ou la Bretagne. En effet, alors que l'Université accueille des étudiants français, bretons, impériaux et du marquisat, seulement la reconnaissance de l'ordre n'est valable que pour le Royaume de France. Aussi celui-ci veut l'étendre afin que tous les étudiants profitent de cet avantage.

Enfin, l'ordre a créé sous l'impulsion de Xollir Emparlëor et en l'honneur d'un de ses anciens bâtonniers, un centre de formation et de discussion autour du droit. Ce centre est destiné aux magistrats locaux et à toute personne prouvant sa motivation. Il a pour vocation d'aider les magistrats à être mieux formés en droit, d'être un lieu où des points de droit pourront être éclaircis, un lieu qui permettrait de montrer aux juridictions locales de se défaire d'éventuelles faiblesses dans leurs textes, mais aussi un lieu de proposition de loi en direction de la Pairie.

Elisabeth Stilton de Lasteyrie, pour l'AAP

Citation :: 26-06-2011 Un nouveau chancelier pout le Ponant
Poitiers (AAP) - En ce mois de juin 1459, les régnant du Ponant ont désigné un nouveau chancelier, son Excellence Datan, l'AAP l'a rencontré pour vous.

"AAP : Bonjour, dans une annonce écrite le 10 juin, les régnants des provinces membres de l'alliance du Ponant ont annoncé votre nomination au poste de Chancelier. Pourriez-vous expliquer votre rôle et vos pouvoirs, ainsi que votre vision du Ponant ?[/b

Datan : Lorsque l'Alliance du Ponant s'est constituée, elle a tout d'abord cherché a rassembler des femmes et des hommes ayant une volonté commune de ne pas rester isolés dans leur coin, mais souhaitant mettre sur pied une entente durable autour de grands principes économiques, défensifs et juridiques. Au fil des discussions et de son évolution, il s'est avéré que cette Alliance a suscité des interrogations, des envies et parfois aussi des critiques. Aussi, la diplomatie a naturellement pris ses droits afin que des réponses soient données, des vérités venant balayer les diffamations et les petites attaques mesquines de provinces craignant sans raison pour leur sécurité.
Bien entendu, une telle Alliance amplifie la mauvaise habitude qu'ont certains de rendre responsable toute une province pour les actes d'un seul de ses ressortissants ; plus nous représentons de forces humaines et plus nous auront de brebis galeuses à devoir gérer. Là est la tâche principale qui consiste à ne pas attiser les rancœurs et à calmer les craintes.

Ainsi, la Chancellerie du Ponant intervient comme toute autre Chancellerie, à cela prêt qu'une concertation doit tout d'abord se faire avec tous les membres de l'Alliance. La diplomatie intervient d'abord en ses propres murs avant d'étendre ses actions vers l'extérieur. En tant que Chancelier, je suis donc là pour représenter le Ponant, répondre aux interrogations, communiquer autant que faire se peut auprès des populations du Ponant, tout autant qu'auprès des autres provinces.

Le pouvoir comme vous le dites, n'est pas la question ; ma charge comporte un travail rigoureux de représentativité de l'ensemble des provinces du Ponant. Et pour votre information, il s'agit d'un mandat de quatre mois.

AAP : Quelle est votre vision de ce poste de chancelier ?

Datan : Ma vision de la Chancellerie du Ponant repose sur des principes simples. Je suis un homme d'échange, toujours à l'écoute, prêt au consensus et d'un rapport franc et direct. Je suis considéré comme un homme modéré sans langue de bois, et je ne tolère que peu ceux qui montrent leurs dents et leurs bras sans être capable d'en expliquer les raisons.
Je souhaite avant tout que le Ponant cesse d'être systématiquement attaqué par ceux qui n'attendent qu'une chose : les conflits. Certains d'ailleurs, n'ont de cesse de nous provoquer gratuitement ; dès qu'un de nos ressortissants s'adonne au brigandage ou participe à une révolte, ils tentent maladroitement de nous en rendre responsables. Je serai là pour éviter que tout dérape.
Lorsque je fus régnant, je préférais m'attaquer à ceux qui commettaient les actes répréhensibles, sans accuser à corps et à cris leur province. Bien entendu, je ne suis pas né de la dernière pluie, et je sais que des commanditaires existent toujours derrières les bras armés, mais je fais simplement en sorte de m'attaquer aux bonnes personnes.

Enfin, lorsque qu'un diplomate échoue et qu'un conflit survient, il doit prendre ses responsabilités. Si ses tentatives de conciliation échouent, et qu'un conflit ne peut être évité, il doit être en première ligne. Et je serai là, comme j'ai toujours été présent pour défendre le Poitou et le Ponant.

AAP : Quels projets souhaiteriez-vous mettre en place durant votre mandat ?

Datan : Tout d'abord, ne plus laisser passer les attaques gratuites et mensongères. Participer autant que faire se peut à l'assainissement des relations avec les autres provinces, faire en sorte que l'on sache que l'Alliance du Ponant n'a pas de vision expansionniste, ni guerrière, que les provinces du Royaume de France présentes au Ponant tiennent à garder leur lien de vassalité à la Couronne de France, et que nous saurons répondre par les armes à toute attaque qui se fera sur le sol d'une des provinces membres.
Je souhaite établir toutes les relations possibles avec nos voisins, relations de confiance et d'échange, ainsi qu'avec toutes les provinces qui accepteront de me recevoir.
En tant que Chancelier, je serai donc heureux d'échanger avec tous les représentants des autres provinces, quels que soient nos échanges passés. L'histoire retient malheureusement que trop souvent ceux qui ont commis des ravages et trop peu ceux qui ont sauvé des vies. Peu m'importe que mon nom disparaisse à ma mort, tant que l'Alliance me survit. Je tendrai donc ma main, ceux qui la prendront ne seront pas déçus, ceux qui hésiteront engageront l'échange, et ceux qui la rejetteront me rendront indifférent.
Bien entendu, je serai aussi en contact avec les autres diplomates des provinces membres afin de coordonner nos actions. La qualité de nos relations déteindra j'en suis convaincu sur ce que nous reverront aux autres.

AAP : Vous prenez la place d'Izeliah Théodora Rovel, accepteriez vous de faire un bilan de son mandat et d'exposer ce que vous souhaiteriez améliorer ou changer dans la façon de fonctionner ?

Datan : Je me garderais bien de faire le bilan d'un prédécesseur. Je pense que nous avons des styles différents, mais une même flamme nous anime, celle qui illuminera les terres ponantaises de paix et de sérénité. Conscients que notre travail, avec les différentes Chancellerie des provinces membres, est celui de premier plan qui permet d'éviter les guerres et les fractures malsaines entre provinces. Comme moi, cette femme d'échange aime les contacts francs et simples. Conscient du travail qu'elle a accompli et soucieux de ne pas perdre l'historique des relations diplomatiques, j'ai demandé à ce qu'elle reste à mes côtés à la Chancellerie.

AAP : Au niveau des dossiers actuels, vous avez entre autres des navires bretons en Gascogne et des tensions entre l'Anjou et les provinces du Maine et d'Alençon, pourriez-vous évoquer ces affaires ?

Datan : Vous touchez justement là un point fort intéressant. L'Alliance du Ponant est une entente scellée entre des provinces et en aucun cas un Royaume indépendant qui répondrait de tout acte d'un de ses Seigneurs officiellement missionné. Soyez certains que si une province attaquait un membre du Ponant, la réponse serait immédiate et massive : les forces du Ponant répondraient de toute leur puissance.
Pour autant, comme un Comte ne peut tenir et retenir des brigands issus de ses terres dans des actions ponctuelles, fussent-elles condamnables, une Alliance ne peut répondre des actions de l'ensemble de ses membres. Aussi, en tant que Chancelier du Ponant, je ne vais répondre à la place des provinces que vous citez car ce n'est pas le Ponant qui est impliqué, mais l'un de ses membres. Il nous arrive d'échanger sur des actes choisis, quand nos visions diffèrent, mais tout acte subits engendre généralement l'accord immédiat.

Ce que je puis vous dire par contre, c'est que certains vont bien vite en faisant mauvaise réputation au Ponant, et en l'accusant de tous les maux du Royaumes. Ce sont d'ailleurs les mêmes qui lancent en sous-main des attaques vers nos châteaux, payent des brigands pour aller sur nos terres, et tentent même de monter d'autres provinces contre le Ponant. Nous ne sommes pas si crédules et cela d'ailleurs n'échappe à personne... Notre Alliance est forte et semble engendrer des jalousies malgré elle. A moi de calmer les esprits en expliquant donc ce que le Ponant fait et veut faire.

Dans votre exemple, concernant la Gascogne, je trouve personnellement que les Grands Officiers de la Couronne vont un peu vite en imaginant la Bretagne envahissant une des provinces du Royaume. Beaucoup d'entre eux savent pertinemment que le but des navires Bretons n'est pas là et je ne puis que déplorer soit leur manque de lucidité, soit leur volonté à peine voilée de lever la suspicion. Je sais que la Bretagne et la Gascogne va répondre rapidement afin d'expliquer aux autres quel était le but de la manœuvre, et démontrer que les craintes n'étaient guère fondées.

Quant aux tensions que vous évoquez, que ce soit celles subies par l'Anjou ou encore la Guyenne, il y a là encore de quoi rédiger des pamphlets pour des générations. Quand on lit les déclarations de la Bourgogne qui n'a de cesse de provoquer sans fin le Ponant, criant aux loups dès qu'un de nos ressortissants mal agit sur son sol, tous les esprits quelques peu lucides ne seront pas dupes de la manœuvre. Une chose est certaine, quand un ressortissant du DR vient taper du voyageur chez nous, nous n'allons pas insulter la Reyne et ses institutions en les accusant de tous nos maux et en fermant les frontières à la moitié du Royaume. Diriger en coopération une puissance comme le Ponant nécessite une prise de recul sur nos actes et nos déclarations.
Enfin, je crois pour ma part, et je sais le Ponant derrière moi, que nous devons combattre ceux qui prennent nos terres pour un terrain de jeu, au lieu d'aller crier maman à tout bout de champ. Il en va de nos responsabilités de régnants et de diplomates. Certains régnants feraient bien de le faire aussi.

Xedar pour l'AAP.

Citation :: Expéditeur : Alcaudon
Date d'envoi : 28/06/2011 - 06:34:39
Titre : HELP

Hi Yolaine,

Today two armies from Cataluña have arrived to our cities breaking the peace treaty that we signed.

We are not ready for this kind of betrayal attack!!

For all this reasons i would like to ask your help as friends to repeal this attack. We can pay the soldiers that you can send to us, as right now i dont have enough people to filled the armies I have.

I'll use the iron as payment for soldiers and supply some food as long as we can.

Your quick response is highly appreciate, we need all the help we can get as soon as possible.

Regards from your friend,
Alcaudon Amansabueyes, Governor of Aragon´s Kingdom

Je ne vois hélas pas trop comment lui venir en aide... quasiment tous nos soldats sont conseillers ou sur une liste !
Une idée ?

Ludwig von Frayner a écrit:

Citation :

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 110624091006418078373675

A Sa Majesté Béatrice Ière, Reyne de France,
Aux Grands Feudataires du Royaume,
Au fier et brave peuple berrichon,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

N

C

I

Q

A

E

de facto

P

Faict à Tours, le vingt-septième jour du mois de juin de l’an de grâce 1459.

LLyr di Maggio et d'Astralgan
Duc de Touraine

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Sctourainejaqz8

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Sctourainejaqz8

Ludwig von Frayner
Chambellan de Touraine

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Ludwigvfjaune

Citation :: 27-06-2011 Le Berry au coeur de la tourmente
BOURGES (AAP) - Depuis quelques temps, le duché du Berry, gouverné par Georgepoilu depuis trois mois, est en proie à une vive agitation. Ce qui était jusqu'à peu du domaine obscur des services de sécurité apparaît depuis quelques jours aux yeux de tous.

Dimanche 26 juin, une armée venue de Touraine et menée par Burin_Khazad est entrée en Berry, allant camper le lendemain aux portes de la capitale du duché, Bourges. Dans le même temps, une seconde armée, de retour de la croisade à Genève et portant les couleurs de la reine, stationne aux portes de Châteauroux.

Le même jour, huit personnes furent inculpées pour haute trahison devant la cour de justice du Berry. Le procureur, Alleaume, reproche aux accusés de faire partie d'un complot visant à déstabiliser le Berry et d'être des espions à la solde de la Touraine et de la Bourgogne. Par ailleurs, il prédit que ces derniers ont pour but de «se révolter contre chacune des villes du Berry [...] pendant que [leur] grand ami, le capitaine Namaycush, fondrait sur [Bourges]». L'accusation se base sur un témoignage anonyme.

Si à l'heure actuelle les deux armées sus-citées n'ont entrepris aucune action belliqueuse contre les intérêts Berrichons, le fait que les deux capitaines soient connus pour divers coups d'éclat, en Gascogne, à Porto ou en Touraine notamment, et que Namaycush arbore le pavillon royal, mis en regard avec la non-reconnaissance du félon Georgepoilu comme régnant légitime du Berry, laisse présager des heurts armés.

Officiellement, les autorités du Berry n'ont pas pris position. La seule déclaration officielle concerne la fermeture de l'université, pour des raisons de sécurité et «par ordre exprès du prévôt», annoncée dimanche par la rectrice Ysabeau.

Kartouche, pour l'AAP

Citation :: 27-06-2011 Le mariage-évènement qui fera frémir le Royaume !
Lyon (AAP) - Toute la France est en émoi alors que les fiançailles de deux éminents membres du gratin dauphinois ont été annoncées ce dimanche.

Elle, Elywenn de Cullen, Duchesse d'Hostun, s'illustre depuis des années à la Cour du Duché par son esprit pétillant et son charme légendaire. Celle qui aurait été la maîtresse de Levan III est adulée par le peuple dauphinois, qui salue sa générosité. La richissime damoiselle totalise en effet plus de cent milles écus de contribution aux bonnes oeuvres de l'Eglise. Elle et les siens baignent dans le sang bleu depuis l'an 256.

Lui, Ryoka de la Vega, Marquis de Dreux, est depuis dix ans investi dans la politique dauphinoise. Déjà par six fois Duc du Lyonnais-Dauphiné, il a révolutionné le système judiciaire du Duché en autorisant les condamnés aux travaux d'intérêt général à jouir d'une dernière volonté. Incontournable à Paris, il a à lui seul financé plus du tiers des tapisseries du Louvre. Sa lignée est certes moins prestigieuse que celle de sa promise, puisqu'on ne lui trouve des ancêtres que depuis l'avènement de Clovis Ier en 481.

Le mariage aura lieu au cours du mois de septembre de l'an de Grasce mil-quatre-cents-cinquante-neuf. Si la liste des invités ne sera pas publiée avant que les deux fiancés eussent choisi entre l'Abbaye Saint-Antoine à Vienne et la Cathédrale de Reims, on y attend déjà Sa Très Aristotélicienne Majesté Beatritz de Castelmaure-Von Frayner et son époux Sa Majesté Guise von Frayner, pressenti pour être le témoin du marquis, bien que Son Altesse Royale Morgennes de Mortain puissent lui voler la vedette.
La famille de la Vega a par ailleurs prévu de longues festivités qui dureraient toute une partie de l'automne, et des lettres de marques ont été émises à l'attention des plus fameux ménestrels de France.

La bague de fiançailles, confectionnée par un orfèvre romain, est composée d'un anneau fait d'argent Britannia surmonté d'un saphir de soixante-neuf carats, lui-même entouré de quatre améthystes de quatorze carats., les cinq pierres étant cerclées d'or blanc. L'artisan, qui attire pourtant la plus luxueuse clientèle européenne, certifie ne jamais avoir travaillé sur un bijou de plus grande valeur.

La robe de la mariée reste toujours un mystère. Le bruit court cependant que le célèbre couturier Paul Vaillant aurait été contacté par la famille Cullen, ce qui n'a pas découragé de nombreux autres artisans qui ont publiquement proposé leurs services au jeune couple. A défaut de robe, la promise se couvre pour l'instant d'un silence abolu lorsqu'on l'interroge à ce sujet.

Plusieurs importants hommes d'Eglise ont souvent été cités. Deux noms cependant sortent du lot : si Sa Sainteté Eugène V est pour l'instant le favori, il se pourrait bien que les futurs mariés contactent Monseigneur Oiselier, l'Evêque de leur Diocèse diois, dans un soudain élan de nostalgie.

Les interrogations sont donc toujours nombreuses autour de cet incontournable évènement, que l'AAP suivra pas à pas jusqu'au "Oui" final !

Cupidon, pour l'AAP

Citation :: 27-06-2011 Le Lyonnais-Dauphiné investit dans des corones
Lyon (AAP) - Ces derniers temps, les autorités dauphinoises ont multiplié les prises de position diplomatiques dans divers conflit européens.

Depuis des mois, voire des années, on a beaucoup reproché à Mercurol, le siège des institutions diplomatiques du Duché, son manque d'engagement et des prises de position rarement assumées sur la scène européenne. Souvent comparé à un berger voulant préserver la chèvre et le choux, ce Duché est longtemps passé inaperçu dans le monde diplomatique, la faute à une timidité mal dissimulée et à des chanceliers qui se sont succédés sans réelle volonté d'imposer la diplomatie dauphinoise dans le Royaume.

La surprise fut cependant générale lorsque, le sept juin dernier, une annonce scellée par le Duc Raithuge Authieux et le Chancelier Tenshikuroi Deschenaux et condamnant fermement l'attaque de Nilas d’Artignac, Duc du Trégor et son armée sur le Comté du Limousin, la qualifiant "d'atteinte inacceptable envers une province vassale de la Couronne de France", fut publiée par le Porte-parole, la demoiselle Svetlna. Cette publication constituait en effet la première prise de position du Lyonnais-Dauphiné depuis la décision du Gouverneur Thibérian Baccard de fournir une aide militaire à la Savoie après la prise d'Annecy en décembre 1458.

On avait alors cru à un évènement isolé qui ne pourrait prévaloir sur des années d'isolationnisme. Cependant, une seconde annonce déposée le lendemain appela la justice helvétique a faire preuve de discernement dans le jugement de son Éminence le Cardinal MrGroar Von Valendras, annonçant qu'une condamnation abusive "ne pourrait être acceptée par la communauté des fidèles Aristotéliciens dont fait partie le Lyonnais Dauphiné" et qualifiant de "folie" le réquisitoire du procureur qui réclamait rien de moins que la condamnation à mort du prélat, qui a depuis été condamné à une peine de dix jours de prison et trois cents écus d'amende.

La confirmation ne tarda pas à venir : suite à l'attaque du navire croisé de Monseigneur Chevreux par le capitaine helvétique Cendres dans les eaux dauphinoises, le Duché a, le onze juin dernier, déclaré suspendre toutes ses relations diplomatiques avec la Confédération Helvétique, et exigé que le capitaine fautif lui soit remis, sans quoi il serait "forcé de considérer la Confédération Helvétique comme un ennemi du Lyonnais-Dauphiné".

Deux semaines plus tard, aucune réponse n'étant parvenue de l'Avoierie, la Duchesse Arwel Chanvigny publia une annonce plus agressive, donnant une semaine aux autorités helvétiques pour livrer le sieur Cendres, menaçant "d’user de tous les moyens nécessaires au rétablissement de sa dignité, y compris par les armes".

Le conseiller ducal, conseiller militaire, ancien conseiller diplomatique et ancien gouverneur Thibérian Baccard, Seigneur de Brindas et du Bois d'Oingt, a accepté de répondre à quelques questions sur la diplomatie dauphinoise.

AAP : Bonjour, et tout d'abord merci d'avoir accepté de répondre à quelques questions pour l'AAP. Pouvez-vous d'abord vous présentez à nos lecteurs ?

Thibérian Baccard : Bonjour, et bien sûr je peux.
Je m'appelle Thiberian Baccard, Conseiller Ducal du Lyonnais-Dauphiné qui va commencer son septième mandat mais également officier supérieur dans l'Ost. J'ai notamment fais un long passage en diplomatie sous l'autorité de l'ancien Chancelier Bastien d'Amilly où j'ai fini par devenir Conseiller Diplomatique durant une courte période pour le seconder mais ai rapidement arrêté pour divergences d'opinions.

AAP : Quel est votre point de vue sur la dernière annonce du duc, qui pose un ultimatum à la Confédération Helvétique ?

TB : Il se trouve qu'un navire de la Confédération Helvétique commandé par le Capitaine Cendres a attaqué et envoyé par le fond un navire de l'Ordre Teutonique commandé par le Capitaine Chevreux devant le port de Lyon, et donc dans les eaux souveraines du Lyonnais-Dauphiné.
Personnellement il m'est impossible de voir une telle action comme une banale violation de frontières, je pense qu'il s'agit d'un véritable acte de guerre à l'encontre du Lyonnais-Dauphiné et de sa politique de neutralité. Là ou la Confédération Helvétique aurait du remercier le Lyonnais-Dauphiné de ne pas prendre part à la Croisade de l'Eglise Aristotélicienne, elle affiche au contraire son total mépris de ses lois et de sa position.
La part en moi d'officier supérieur de l'Ost me pousse à penser que seule une action armée serait une réponse adaptée à de tels agissement mais ma part de diplomate et de Conseiller Ducal cherche également une solution pour éviter le conflit ouvert, d'où l'annonce de sa Grâce Authieux même si j'aurais personnellement ajouté l'exigence de destitution de tous ses titres et postes en Confédération Helvétique au Capitaine Cendres.

AAP : De manière plus générale, estimez vous que la récente multiplication des prises de position du Lyonnais-Dauphiné dans les différents conflits européens soit une bonne chose ?

TB : Oui je le pense, peut-être à tort car je vois les choses d'un point de vue de soldat et d'officier ayant commandé l'Ost de nombreux mois ou encore parce que j'ai moi même décidé d'envoyer nos forces armées en Savoie lorsqu'elle a été envahie par Genève et les Lions de Juda.
J'avoue humblement ne pas savoir avec certitude si mes convictions diplomatiques sont les meilleures du monde, mais j'avoue également penser qu'un duché puissant militairement comme le Lyonnais-Dauphiné devrait assumer sa puissance et s'imposer davantage comme tel.
Donc oui, il est pour moi évident qu'il doit poursuivre ses prises de position et même les multiplier de façon exponentielle.

AAP : Vous parlez de la force armée du Lyonnais-Dauphiné : doit-elle selon vous être l'instrument d'une politique belliqueuse ou un simple moyen de pression pour faire valoir l'avis du Lyonnais-Dauphiné ?

TB : Ni l'un, ni l'autre ... Je ne vois pas l'Ost du Lyonnais-Dauphiné comme un instrument d'intimidation, il est avant tout un outil défensif ... Il n'a pas pour vocation d'intimider ou d'attaquer.
Je pense simplement que le Lyonnais-Dauphiné doit assumer sa puissance et agir en puissant, les prises de positions des puissants sont toujours plus respectées et nous devions donc nous doter d'une diplomatie plus couillue pour nous représenter au mieux et cesser de nous positionner en faibles, en lâches ou en victimes car le peuple que nous représentons n'est ni faible, ni lâche et encore moins un peuple de victimes.
Par deux fois, par deux bans royaux, le Lyonnais-Dauphiné à prouvé qu'il était le fer de lance du Royaume ... Il était donc temps d'agir comme tel.

AAP : Merci pour ces précieuses réponses, et à bientôt !

Les regards des Lyonnais-Dauphinois sont donc tournés vers Genève. Si certains, belliqueux, espèrent avoir à sortir les armes dans un élan de fierté, d'autres, plus sceptiques au sujet de la puissance militaire du Duché, craignent que cette récente volonté d'autorité ne se retourne contre le Lyonnais-Dauphiné.

Antoine de Sevillano, pour l'AAP

Citation :

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Logosgg

TRAITE D’ENTENTE, D’AMITIE ET DE COOPÉRATION ENTRE L'ALLIANCE DU PONANT ET LE BERRY

[justify]Dans leur grande sagesse, les Hautes Autorités de l’Alliance du Ponant (Grand Duché de Bretagne, Duché d'Anjou, de Guyenne, Comté d'Artois et du Poitou) et du Berry ont souhaité mettre par écrit l’amitié qui lie les peuples des Provinces membres de l’Alliance du Ponant et du Berry, afin que celle-ci perdure pour les générations à venir.

Titre 1 : De l’amitié

1.1. Les Hautes Parties Contractantes, au nom de leurs peuples, provinces, héritiers, successeurs et vassaux, s’offrent mutuellement une paix et une amitié sincère et durable. Ils mettront tout en œuvre pour s’assurer que la-dite amitié soit maintenue et qu’aucun acte hostile, de part et d’autre, ne soit commis en quelque occasion ou pour quelque raison que ce soit.

1.2. Les Hautes Parties Contractantes reconnaissent l'amitié entre les provinces du Berry, de l’Anjou, de l’Artois, de la Guyenne, du Poitou et du Grand Duché de Bretagne. Ceci, aussi longtemps que les provinces concernées respecteront leurs engagements les uns envers les autres. Les Hautes Parties Contractantes conviennent que les dispositions statutaires de l'Alliance du Ponant prévalent sur le présent texte.

1.3. Les dites provinces, ci-dessus citées, s'apporteront mutuellement soutien technique et logistique, dans la mesure du possible, dans le domaine judiciaire, économique, diplomatique et militaire. Des réunions de partage d’expérience d’une province à l’autre peuvent éventuellement être envisagées.

Titre 2 : Des rapports diplomatiques

2.1. Le Duché du Berry s'engage à représenter ses intérêts et à honorer son amitié envers l’Alliance du Ponant en nommant à Cholet deux représentants en plus du Duc.

2.2. L’Alliance du Ponant s'engage à accueillir en son palais de Cholet l’ensemble des personnes, mandatées par le Duc et de part leurs fonction. Les personnes ainsi accueillies sont les représentants de l’économie, de la justice, de l’armée, de la diplomatie et de la marine Berrichonne.

2.3. Le Berry, même s’il n’est pas reconnu en tant que membre de l’Alliance du Ponant, est soumis et peut faire appliquer chaque point du traité fondateur de l’Alliance du Ponant.

Titre 3 : De l'entente économique et commerciale

3.1. Les parties contractantes s’engagent à mettre en oeuvre des actions de nature à favoriser toute entente commerciale entre elles selon l'étendue de leur pouvoir.

3.2. En partenaires civilisés, elles s'engagent à punir toute déstabilisation économique envers l'une ou l'autre, dont les auteurs comptent parmi leurs citoyens.

3.3. Les parties contractantes s'engagent à ne pas créer de troubles économiques, politiques ou sociaux sur les territoires signataires par quelque moyen que ce soit. (Ingérence, fomentation de révolte, déstabilisation du marché).

3.4. Les parties contractantes s'engagent à favoriser l'échange commercial entre leurs provinces, que ce soit par mer ou par terre.

Titre 4 : De la Coopération judiciaire.

4.1. Dispositions préalables :

4.1.1. Les Hautes Parties Contractantes reconnaissent le principe qu'une personne ne peut fuir la loi qu'elle enfreint et échapper à l'autorité de son Duc/Comte sur ses terres.

4.1.2. Si un citoyen peut être mis en accusation dans l'une des provinces signataires, il sera jugé en fonction des lois et coutumes du lieu de son crime ou délit. Le verdict devra cependant être conforme aux lois constitutionnelles du lieu du jugement.

4.1.3. Tout délit commis dans une province, déjà commis auparavant dans l'autre, pourra être poursuivi comme récidive.

4.1.4. Eu égard à la reconnaissance de la jurisprudence du Royaume de France et à la règle "non bis in idem", un individu condamné par l’une des Cours ne peut pas être condamné pour les mêmes faits par l’autre Cour.

4.1.5. Sont exclues de ce présent traité les procédures à l’encontre de citoyens pour raison politique, contestation ou opposition au pouvoir en place.

4.2. De la procédure judiciaire à adopter :

4.2.1. Les Conseils Comtaux/Ducaux sont habilités à lancer des poursuites à l'encontre d'une personne suspectée d'avoir enfreint la Loi et qui se réfugie sur le territoire des Provinces (Comtés/Duchés) liées par ce traité. Ils doivent pour cela adresser une demande de poursuites.

4.2.2. Cette demande prend la forme d’un acte motivé du Conseil Comtal/Ducal requérant ou de son émissaire, exposant l’identité ou la description de la personne en fonction de la législation de la Provinces, les faits reprochés et les éléments de preuve appuyant la plainte, adressé au Conseil Comtal/Ducal requis.

4.2.3. La mise en accusation effectuée, le Procureur de la Justice requérante fournira au procureur du Duché/Comté requis l'Acte d'Accusation.

4.2.4. Le procès sera mené par la Justice requérante, en étroite collaboration avec la Justice requise. Les Parties Contractantes conviennent que l'ensemble de cette procédure ne saurait excéder deux mois.

4.2.5. Au terme des délibérations, les deux Juges des Comtés/Duchés liés par ce traité se concerteront pour donner la sentence. Le Juge requérant proposera une peine, le Juge requis devant la valider, cela dans le but de veiller au respect des lois et coutumes des Parties liées par ce traité.

4.2.6. Une partie de l'amende versée au Comté/Duché sur lequel se déroule le procès pourra être reversée au comté sur lequel se sont déroulés les faits, sur la demande de ce dernier.

Titre 5 : Dispositions finales

Article 5.1. Dispositions générales

5.1.1. Le présent Traité entrera en vigueur au lendemain de l’échange des consentements, exprimés au terme d’un débat et d’un vote des Conseils respectifs de leur Duché/Comté.

5.1.2. Le présent Traité est bilatéral et n’est point, dans sa forme prime, ouvert à l’adhésion de Provinces tierces.

5.1.3. Des modifications totales ou partielles de ce présent Traité peuvent être décidées par consentement mutuel.

5.1.4. Le non-respect d'une clause de ce traité libère l'autre partie de toute obligation jusqu'à ce qu'une compensation ou un accord puisse être trouvé.

5.1.5. Le présent traité ne prévaut pas sur les Alliances contractés de part et d’autres mais implique dans ce cas, la priorité aux échanges diplomatiques en cas de litige.

Article 5.2. De la rupture du présent Traité :

5.2.1. Une annulation unilatérale de ce présent Traité en temps de paix doit respecter la procédure suivante:

- Une missive d'un des Contractants sera adressée à l'autre Contractant.
- Une déclaration officielle et formelle sera alors publiée dans les gargotes respectives et les ambassades.

5.2.2. Toute affaire en cours entre les deux provinces lors de l'annulation ne pourra être stoppée et sera donc conduite jusqu'au terme de son instruction.

5.2.3. Cet accord ne prend pas acte en cas de guerre entre les Comté/Duché contractants.

Puisse le Très Haut inspirer aux Parties Contractantes le respect des présentes dispositions.

Faict à Cholet

Le 25ème jour de juin 1459

Evit Breizh, Elfyn de Montfort Grand-Duc de Bretagne
[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Elfyngdjaune

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Elfyngdjaune

Sa grâce Leepo , duc de Guyenne

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 457117orus8ew3

Sa Grandeur Oane de Surgères, comtesse de Poitou

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Poitoujdz3-21d5adc

Sa grandeur Crysline, Comtesse d'Artois
[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Scarto10

Sa Grâce Kilia de Mauléon Penthièvre, régente d'Anjou
[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 Sceaukiliajaune

Au nom du Berry, Whoopie de la Rose Noire, Dame de Puy-Vallée,
Chancelière de Berry

[Diplo] Les évènements dans les Royaumes - Annonces - Page 10 110514114127564488158383

Citation :: A tous ceux qui, officiellement ou non, ont pénétré sur les terres berrichonnes,
Aux Femmes et aux hommes qui suivent leurs étendards en ayant confiance en leur capitaine,
Au peuple du Berry,

Nous, membres unis du ponant, apprenons que des armées ont pénétré sur les terres Berrichonnes et menacent leur capitale, quand d'autres vont les rejoindre sous peu. Il semblerait que l'une d'entre elles arbore le pavillon royal, sans pour autant avoir reçu un ordre de la Reyne ou du Dauphin, pour faire acte d'ingérence dans les affaires Berrichonnes. Nous ne sommes pas sans savoir que des manœuvres se préparent et dont le seul perdant sera le peuple Berrichon et tous ceux qui tomberont pour satisfaire des égos démesurés.

Notre Reyne, n'ayant point reconnu le Duc du Berry, a engagé, selon ses propres dires, ses "loyaux sujets du Berry à désigner pour les représenter une autre personne de leur choix". Cela ne signifie aucunement qu'un blanc-seing fut accordé à une autre province ou à quiconque n'étant pas Berrichon pour prendre le pourvoir en lieu et place des Berrichons eux-mêmes.

Nous recommandons vivement aux chefs d'armées, ayant dénaturé la demande Royale dans l'unique but de faire main-basse sur le Berry, de quitter les terres Berrichonnes et de laisser ce peuple libre de choisir son futur régnant. Il est intolérable qu'une telle ingérence soit permise et ce, bien évidemment, sans l'approbation de la Reyne ou du Dauphin de France.

Nous souhaitons, enfin, émettre une mise en garde sur les conséquences que pourraient avoir un tel acte d'ingérence. En effet, les provinces amies du Berry, face à cette incursion illégitime, ont non seulement le droit mais même le devoir, de venir porter assistance au peuple Berrichons dans la défense de ses instances et de lui permettre de trouver un régnant dans les conditions édictée par la Reyne, et nulle autre personne.

Aussi, pour le premier homme qui tombera à terre en cas de guerre, pour que la paix demeure sur les terres du Royaume de France et pour le respect des volontés de la Reyne, que chaque ressortissant des provinces s'engageant dans ce conflit potentiel interpelle ses dirigeants afin de leur demander de raison garder et que chaque capitaine, chaque soldat, chaque mercenaire prenne conscience des conséquences de ses actes.

Fait le 28 juin 1548 à Cholet
Pour le compte de l'assemblée du Ponant

Datan l'épervier
Chancelier du Ponant

Citation :: A Sa Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reyne de France,
Aux Grands Feudataires du Royaume,
Au Fier et très Brave peuple Berrichon,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Et Au petit envahisseur tourangeau,

Nous, Bubul d'Arundel des Olonnes dict Bubul27, Baron de Buzançais et Seigneur de la Beausse et Héraut du Berry, et de ce fait digne et magnanime vassal et officier de la Couronne de France

Reconnaissons la décision royale de notre Majesté Béatrice, laquelle incitait ses loyaux sujets du Berry à désigner pour les représenter une autre personne de leur choix, dont elle serait encline à accepter l'allégeance, en date du 27 mai de l'an mil quatre cent cinquante neuf.

Informons qu'à l'heure où est écrit ce texte, aucun membre élu au conseil n'a présenté sa dite candidature pour être nommé régent ducal de Berry, même les élus d'opposition, qui préfèrent jouer les malfaisants à l'extérieur pour que le berry soit envahi, plutôt que de la jouer interne.

Depuis trois mois, en tant que héraut, j'occupe les murs de la belle cité de Bourges ; et jamais aucune demande officielle de destitution du conseil nous est parvenu depuis la déclaration royale du 27 mai de l'an mil quatre cent cinquante neuf, qui aurait permis la destitution du duc élu et non reconnu par sa majesté.

Après lecture d'un parchemin ducal de Touraine, torchonné du duc en poste, et en tant qu'officier royal, nous ne pouvons prendre en compte ce chiffon pour acte officiel émanant de notre bonne Reyne, mais bien la volonté déclaré d'un fou illuminé se prenant pour sa Majesté elle-même.

Qu'il soit donc su de tous et de toutes Berrichons, Berrichonnes, Enfants de France, que la Touraine entreprend ce jour une guerre d'intérêts personnels, et non un acte loyal officiel.

L'incursion de ses armées agrémentées ducales en notre province, est donc une déclaration de guerre, pure et dure, et rien d'autres.

Avérée, déclarée et affirmée.

Le duc de Touraine ose se prendre pour le Très-Haut en intervenant sur des terres qui ne sont pas siennes ; et pire que tout, il envoie un félon à son propre duché mettre à feu et à sang un autre duché.
En effet, le dénommé Burin_Khazad a, il y a peu, renversé la duchesse légitime de Touraine, Camille d'Anclair ; acte que sa majesté la Reyne a elle-même reconnu comme acte de félonie.

Considérant l'acte de félonie engagé par le duc Llyr de Touraine en attaquant un duché sans aucune déclaration de guerre au préalable, sommons :
- Que les armées tourangelles soient immédiatement détruites et que les soldats s'en retournent chez eux en simple voyageurs et non en groupes ou corps d'armes sous peine de poursuites judiciaires, sous les 24 heures.
- Que l'armée de Namaycush, le vil brigand, soir sur le champ détruite et armement remis aux autorités militaires ducales, sous les 24 heures.
- Lançons en tant qu'officier royal, une mise en procès à l'encontre du duc de Touraine, pour attaque non officielle et félonie en usurpant l'autorité de la couronne et en déclarant la guerre en son nom.

Par conséquent, à la situation actuelle gravissime engagé par la Touraine et le brigand Namaycush envers le Berry et les berrichons, et en tant que bon vassal envers la Reyne et le Royaume de France et son représentant en Berry, j'appelle à la levée du ban de la noblesse et que chaque berrichon, berrichonne s'active à la formation de lances et armées, cela pour défendre le Berry et le libérer des envahisseurs, et pour protéger les intérêts de sa majesté en Berry.

Que ce crime soit puni et les châtiments exemplaires.

Faict à Chenonceau, ce vingt-huitième jour du mois de juin de l'An de grasce mil quatre cent cinquante neuf.

Citation :: 29-06-2011 Interview du Comte du Languedoc
MONTPELLIER (AAP) - Interview du Comte Jorocket du Languedoc.

AAP : Bonjour Votre Grandeur, comment se passe votre révolution juridique ? Pour rappel à nos lecteurs, vous avez remplacé l'entier du codex par une charte d'une dizaine d'articles dont les points forts sont un Comte ayant tout pouvoir, une justice basée sur la coutume et débarrassée de tout risque de vices de forme ainsi que la suppression des restrictions électorales.

Jorocket : Le Languedoc n'est pas encore habitué ; il faut un temps d'adaptation. Cela faisait des années que le Comte était entravé, le Conseil incapable d’avancer, que les Maires ne pouvaient appliquer sereinement leur politique et que la justice était défaillante. Et soudain, en quelques jours, les élus et institutions se voient confier liberté d’action et pouvoir décisionnel. Les bonnes habitudes seront prises progressivement.

AAP : Concernant votre Capitale, celle-ci a été rendue ville franche par Son Excellence le Capitaine Bentich, sans vous consulter. Pourtant, vous lui avez pardonné. Pourquoi donc ?

J : Mon Capitaine n'a pas voulu nuire. Il s'agissait pour lui d'un test pour en voir les conséquences. Je délègue à mes ministres les responsabilités dues à leur poste. Le Capitaine Bentich a fait preuve d’initiative. C’est louable. Néanmoins cela n'excuse pas son geste. Le simple fait de ne pas m’en avoir informé a eu des conséquences politiques que certains se sont empressés d’exploiter.
Il me fallait également prendre en compte la situation actuelle du Comté, affaibli militairement, économiquement et politiquement par des années de marasme. Je ne voulais pas me séparer d’un bon ministre qu’est Son Excellence Bentich. J'ai pesé le pour et le contre, et j'ai choisi de faire preuve de clémence. Certains ne comprennent pas ce choix, mais c’était le plus juste pour le Comté. Mon Capitaine et l’armée sont entièrement à mes ordres ; et j’ai toute confiance en lui.

AAP : Le pardon fait donc parti de votre politique.

J : Cela dépend. Tout le monde peut commettre une erreur sans vouloir nuire. Par contre, je condamnerais avec fermeté toute sédition contre mon autorité.

AAP : Les mines du Comté ont aussi été sujette à une erreur d’un de vos conseillers. Est-ce que cela ne fait pas un peu trop d’erreurs ?

J : Que voulez-vous... Shit happens.

AAP : Quels sont vos projets désormais ?

J : Je mets tout en oeuvre pour renforcer mon armée. Celle-ci a été affaiblie par son ancien fonctionnement, des dissensions internes et surtout une gestion calamiteuse. Mais nous sommes sur la bonne voie et je suis confiant pour l'avenir.

AAP : Savez-vous si certaines provinces ont suivi l'exemple du Languedoc concernant le changement de législation ?

J : Il semblerait que oui. Ceux qui se tournent vers cette voie ont raison. Le Languedoc se relève désormais du marasme dans lequel il était enlisé, et je m'en félicite. Je dois faire face à une certaine contestation mais les bons résultats de mon règne suffiront à faire taire les mauvaises langues.

AAP : Vous avez parler de contestation, pouvez-vous donner plus de détails ?

J : J’ai fait table rase d’un passé vermoulu, mis au feu des lois idiotes et mal écrites, des façon de faire révolues, des institutions sclérosées. J’ai donné un grand coup de balai dans ce qui prive le peuple de sa souveraineté et son seigneur de son pouvoir. Comme par exemple le poste de Général qui soustrayait l’armée à l’autorité du Comte et du Capitaine.
Il est normal que cela n’est pas plu à l'intelligentsia qui tenait les rênes du Comté jusqu’à présent et depuis des lustres. Cette contestation n’est que l’expression d’individus qui cherchent à fragiliser mon gouvernement pour regagner son influence et sa main-mise. La plupart des contestataires sont des nobles ; dont certains n’ont pas hésité par le passé à trahir et renverser leur souverain qui avait, lui aussi, des grands projets de réforme (ndlr : le Comte Boniface Ryllas, déclaré félon par le Roy en janvier 1458).

AAP : Pourquoi des nobles ?

J : La noblesse n’est pas reconnue à sa juste valeur. Désoeuvrée, elle tue le temps en s’amusant à de petites cabales et séditions ; perdant avec le temps les valeurs auxquelles elle ne devrait pas déroger. J’ai de grands projets pour mes vassaux. Car je veux redonner à cette noblesse son rôle majeur, sa fierté d’accomplir son devoir et les honneurs qui lui sont dû. Mais je compte me montrer particulièrement ferme avec mes vassaux qui choisiraient les chemins hasardeux de la désobéissance et de la trahison.

AAP : Je vous remercie, Votre Grandeur, pour le temps accordé.

Planchet, pour l’AAP

Citation :: 29-06-2011 ERRATUM : Le mariage-évènement qui fera trembler le royaume !
Lyon (AAP) - Après de nombreuses recherches supplémentaires, il semblerait que certains éléments de notre précédent article "Le mariage-évènement qui fera trembler le royaume !" soient imprécis voire incorrects. Voici, dans l'ordre d'apparition, les corrections à apporter dans votre lecture.

- Elywenn Cullen n'est pas duchesse ;
- Elle n'a jamais mis les pieds à une Cour quelconque ;
- Les rumeurs de sa liaison avec Levan III semblent infondées ;
- Elle a donné cinq écus à la messe, une fois, mais pas plus ;
- La famille Cullen n'est référencée à la hérauderie que depuis 1459 ;
- Ryoka de la Vega n'est pas marquis ;
- Son expérience politique se résume à une présence dans la deuxième moitié d'une liste ducale ;
- Il n'a jamais mis les pieds dans un tribunal ou dans une administration quelconque ;
- Lorsqu'on lui a demandé, il ne savait même pas qu'il y avait des tapisseries au Louvre ;
- Il est le seul membre de sa famille et ne connait ni père ni mère ;
- Si les deux futurs époux seraient sans aucun doute honorés par la présence du couple royal à leur mariage, on peut douter de la présence de ce dernier ;
- Son Altesse Royale Morgennes de Mortain est décédé depuis plusieurs années ;
- La bague de fiançailles est un simple anneau de cuivre ;
- La confection de la robe de la mariée sera sans doute confiée à un artisan local ;
- Sa Sainteté Eugène V s'est malheureusement éteinte il y a plusieurs semaines.

Il s'avère donc que ce n'est en rien un évènement digne d'un article dans notre glorieuse édition. Nous nous excusons donc pour la gêne occasionnée.

En revanche, il est de rigueur de féliciter malgré tout l'heureux couple et de leur souhaiter bonne chance pour leur prochaine union ! L'équipe de l'AAP leur présente quant à elle ses plus plates excuses pour la gène occasionnée par ces petites imprécisions sur leurs identités.

Cupidon, pour l'AAP

Note du rédacteur en chef : Cupidon, t'es viré. Ne passe pas par la compta, ton salaire paiera l'erratum.

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