La salle commune n’était pour le moment qu’un amoncellement de lits de fortune glanés ça et là en dedans des maisons laissé à l’abandon, de draps et autres étoffes de fortune délimitant les espaces de vie de chaque patient afin que les futurs malades gardent en partie leur intimité vis-à-vis des autres patients. Il n’en serait bien sur rien des infirmières, et autre médecin, qui pénétreraient l’intimité du malade durant la duré de son séjour en l’hôpital ducal.
Ici, il serait alité, mais pourrait le cas échéant essayez de se lever, manger, boire, parler avec d’autres malade si cela lui en prenais l’envie.
Les médecins s’occuperaient bientôt de leur malade en grande partie en cet endroit. Hormis les opérations, se serait leur lieu de travail privilégié.
La salle était plutôt vaste, et pourrait accueillir une centaine de patients.
En espérant pourtant que jamais l’hôpital ne contiendrait autant de personne dans un même temps. L’épidémie serait alors bien contagieuse ou bien la guerre bien destructrice. Et la mort planerait bien trop sur le duché. Mais mieux valait prévoir, car cela pouvait pourtant ce produire.
Le décor restait quand à lui assez sobre. Des ecclésiastiques également seraient conviés à faire partie des assistants aux malades toutes aide était de bonne fortune et leur savoir n‘en serait que plus requis. Les médecins leur demanderaient comment égayer l’endroit qui paraissait ainsi fort souffreteux en lui-même. Sans doute trouveraient-ils ensemble un moyen de rendre de la gaîté à cette salle commune.
Oui, ils trouveraient ensemble le moyen qui conviendrait le mieux.