Klementein
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| Sujet: Robain – TOP – Relaxe – 28 Novembre 1457 Sam 5 Déc 2009 - 18:27 | |
| Robain – 28 Novembre 1457 – Relaxe – TOP
Juge : Skiid Procureur de l’Accusation : Aknaïl Procureur du Réquisitoire : Aknaïl
Témoins de l’accusation : … …
Témoins de la défense : ... ...
Relaxe Verdict rendu le 28 Novembre 1457
Minutes du procès :
- Citation :
- Acte d’accusation :
Votre Honneur,
Je lance en ce jour du 2 novembre 1457 un procès à l'encontre de Sir Robain sous le chef d'accusation de Trouble à l'ordre public (TOP).
En effet, l'accusé est en situation illégale puisqu'il ne détient pas de laisser-passer. Cet homme a été aperçut en lance par Messire Oli13 alors que les lois formulés sont contre ce type de manoeuvre. Un courrier lui fût envoyé par Dame Lupiote afin de clarifier la situation, mais aucune réponse lui fût parvenue.
De ce fait, je vous cite la loi enfreinte par l'accusé :
*Décret fermant les frontières du Béarn
Béarnais & Béarnaises, Voyageurs & Voyageuses, À tous, présents et à venir;
Qu'il soit su que désormais la loy martiale est déclarée en Béarn, en conséquence, en sus des obligations ordonnées par la fermeture des frontières :
■La circulation en territoire Béarnais est interdite à toute personne, Béarnaise ou étrangère au Comté du Béarn, et non munie d'une autorisation de circulation en règle.
■Les armées du Béarn ou agissant en son nom ont désormais l'ordre d'attaquer tout groupe, toute personne ou toute armée n'ayant reçu d'autorisation de circulation.
■Toute demande d'autorisation de circulation doit se faire auprès du Prévôt en fonction, actuellement Donà Lara Marqueyssac-Ravel dicte Lara60, Donà de Les Angles,.
■Toute circulation non-autorisée sera considérée comme un acte d'agression et entrainera des poursuites judiciaires immédiates pour trouble à l'ordre public.
Cette décision fait suite à la déclaration de guerre faite au Béarn par le Canton de Genève, sis en Confédération Helvétique, et l'envoie de troupes armées, Lions de Juda et autres mercenaires affiliés pour attaquer, piller, et saccager le Comté du Béarn. Cette mesure est effective dès sa publication, et ce, jusqu'à nouvel ordre.
Rédigé et publié le 29 Octobre de l'An de Grasce 1457 en le Castèth de Pau. Au nom du Conseil Comtal Béarnais, Caro Maledent de Feytiat, Comtessa do Béarn. Per lo Béarn !*
Je rappelle à l'accusé qu'il est en droit d'être représenté par un avocat. Il en trouvera un à l'adresse suivante : http://les-avok-haillons.forumchti.com/
Votre Honneur, la parole est à la défense.
*Acte d'accusation fait à Pau le 2 Novembre 1457. Aknail, procureur du Béarn.* - Citation :
- Première plaidoirie de la défense :
Bonjour votre honneur,
Je trouve bien injuste ce qu'il m'arrive, certes j'avoue avoir omis de demander un laisser-passer, cependant je n'avais pas prévu de séjourner dans le béarn. Mais tout un tas de circonstances ont joué contre moi. Tout a commencé lorsque je suis venu retrouver une amie à Pau afin de rejoindre ensemble notre cîté : Uzes... Ainsi décidant qu'il serait plus rapide de chevaucher pour la rejoindre, et n'ayant pas de destrier, je suis monté derrière un cavalier faisant parti d'une lance. J'ai certainement eu tort, quoiqu'il en soit comme un malheur n'arrive jamais seul, c'est sans un sou que j'ai terminé le voyage à Pau... seulement il me fallait bien passer la nuit quelque part avant de repartir le lendemain matin.
Voilà qu'au milieu de la nuit cette fichue émeute éclate, c'est à cet instant que j'ai réalisé mon erreur d'avoir trouvé une place pour dormir au pied du château... sans laisser-passer comment justifier ma présence à vos soldats ? J'ai donc terminé la nuit en prison et c'était mérité d'après vos lois, même si je n'ai pas vagabondé volontairement. Le lendemain, à ma libération je n'avais plus qu'un but en tête, quitter au plus vite le béarn (sous deux jours comme précisé dans la missive). Mais le malheur m'a poursuivi, décidant de prendre la route de Tarbes, une de vos armées m'est tombé dessus et à la vue de mon épée n'a fait qu'une bouchée de moi, me ramenant à Pau et m'obligeant à y résider les 45 prochains jours...
Alors de quoi m'accuse-t-on aujourd'hui, si ce n'est d'avoir été au mauvaise endroit au mauvais moment ? Je veux bien plaider coupable s'agissant de ma présence sans laisser-passer et donc de ma nuit de vagabondage. Mais pour le reste je plaide non-coupable, je ne fais pas partie de tout ces gredins qui ont voulu piller votre belle cîté. Moi je viens d'Uzes et je n'étais là que pour retrouver mon amie, et le pire dans tout ça c'est qu'elle n'était plus ici à mon arrivée... le malheur me pourchasse votre honneur voilà tout ! - Citation :
- Réquisitoire de l’accusation :
Je comprend votre frustration Sir Robain, mais la missive que vous aviez reçu méritait un réponse. Si vous aviez prit le temps de demander un laisser-passer, vous ne seriez peut-être pas en train de vous justifier. Quoiqu'il en soit, au vu des événements, je requiert à votre encontre une simple amende de 30 écus pour frais de dossier.
Votre Honneur, la parole est à la défense.
*Réquisitoire rendu à Pau le 10 Novembre 1457 Aknail, procureur du Béarn.* - Citation :
- Dernière plaidoirie de la défense :
Puisque je reconnais volontiers avoir commis l'erreur de n'avoir demandé de laisser-passer j'accepte le jugement rendu. Je paierais donc cette amende dans les plus bref délais et quitterais votre belle contrée dès que j'en aurais la possibilité. - Citation :
- La défense a appelé … à la barre :
- Citation :
- La défense a appelé … à la barre :
- Citation :
- L’accusation a appelé … à la barre :
- Citation :
- L’accusation a appelé … à la barre :
- Citation :
- Verdict de la cour :
Meine Freunde: robain ist relaxed!!! the wind of change... | |
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