[RP]Cérémonie d'allégeance à SG Azilize d'Herbeauge

Regard à gauche, à droite... personne d'autre ne semblait s'avancer, elle le fit donc. D'un large sourire elle salua Eglantine qui regagnait sa place puis clopina jusqu'au trône. Comme chaque fois depuis plusieurs mois, elle se sentit stupidement maladroite à débarquer ainsi avec ses bâtons devant le souverain Béarnais, mais stupide elle l'aurait été plus encore à tenter de venir sans ses fidèles supports et risquer de tomber devant toute la noblesse béarnaise réunie. Quoique... elle avait déjà testé, elle n'en était pas morte pour autant, mortifiée tout au plus.
Chassant d'un léger geste de la tête ces pensés inopportunes, elle esquissa une révérence aussi malhabile que volontaire, puis rassembla ce qui lui restait de mémoire pour prononcer le serment attendu.

Bonjorn Votre Grandeur...

C'était presque ça...

Moi, Calypso Ysabella d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure, En ce jour vous reconnais comme ma suzeraine, vous Azilize d'Herbauge, Comtesse du Béarn élue par la grâce des urnes.
Je vous dois et offre mon respect (obsequium), mon aide (auxilium) et mon conseil (consilium).

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Azilize Comtesse du Béarn à un tiers, je jure que je prendrais cause pour vous.

Une fois encore, le vieux schnock avait confié la mission à son fidèle garde du corps pendant qu'il était lui parti à la guerre.
Portachu quitta un moment son tribunal et se rendit en salle du trône porteur d'un pli.

Il s'approcha des autorités présentes et dit:

Je suis porteur du pli d'allégeance du comte de Castelbajac.

Puis il se recula pour attendre le pli de réponse

Citation :: Salutations,

Par la présente, nous Paddy Versifiet de Ouiskai, comte de Castelbajac et seigneur de Sancte Fe de Morlàas renouvelons ce jour notre allégeance au Béarn représenté par Azilize notre bien aimée comtesse.

Nous jurons solennellement respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium) à la comtesse légitime du Béarn. Nous jurons de prendre cause pour le Béarn comme nous l'avons toujours fait si un conflit venait opposer le Béarn, à un tiers.
Qu'il soit dit que jamais nous ne briserons ce serment , et que nous jurons sur les Saintes Ecritures de respecter cette allégeance.

Fait à Sarlat le 15 juin de l'an 1460

La cérémonie continuait et de temps en temps un messager lui apportait un message, afin de lui permettre de savoir ce qui se passait. Une ville pillée, quelques brigands rien que d'habituel désormais.

Cooky arrivait en boitillant un peu moins que les autres fois. Puis elle fit son allegeance.

Nous Azilze d'Herbauge, comtesse du Béarn, recevons votre allegeance, Calypso Ysabella d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure, et vous promettons subsistance, aide et justice, pour toute la durée de notre mandat.

Puis après avoir fait l'allocalade traditionnelle...

Comment vas tu Cooky ? j'ai l'impression que bientôt tu n'auras plus besoin de ses béquilles.

Se redressant avec précautions, elle sourit doucement.

En effet, à force de traitements, de soins et d'exercices, ça va de mieux en mieux.
D'ailleurs, j'en profite pour vous dire que je me suis inscrite aux prochaines joutes pour y défendre les couleurs du Béarn.
J'espère que cela ne vous dérangera pas, même si je risque fort de rouler au sol bien plus vite qu'à mon tour.

Ne sachant plus si rendre l'accolade était de rigueur, elle tapota rapidement du bout des doigts le dos de la souveraine, par réflexe, puis s'écarta sur un dernier signe de tête.
Bien que d'humeur bavarde, ce n'était pas exactement le lieu ni l'endroit pour faire un brin de causette. Elle ravala donc son babillage et s'en retourna prendre place dans l'assistance en clopinant dignement.

Plop.

Citation :: A vous Azilize d'Herbauge, Comtesse du Béarn

De nous, Eugénie de Varenne, Vicomtesse du Montanerès, Baronne de Domfront et de Monein,

Saludi e Patz.

Nous prenons la plume ce jour pour réaffirmer notre attachement et notre lien de vassalité au Comté du Béarn & sa Comtesse. Nous vous promettons Obsequim, Concilium et Auxilium.

Montmirail, le 20 Mai 1460.

Zenitude: chose qui ne se trouve généralement pas en salle du trône.
Hors c'est bien de cela dont elle avait besoin, exsangue et fatiguée qu'elle était. C'était certes compter dans les coups de Murphy mais en attendant, elle essayait tant bien que mal de reprendre goût à quoi que ce soit.

Plume qui crisse sur un parchemin, cire chauffée et sceau appliqué... missive remise à un messager de confiance pour qu'il la porte à qui de droit.

Citation :: De Vanyel d'Arezac,
A Azilize d'Herbauge, Coms du Béarn,

Salutations,

par la présente faisons savoir que nous renouvelons à travers vous notre allégeance au Béarn pour les terres d'Ossau & Arros.
Qu'ainsi vous promettons fidélité, aide & conseil dans la mesure de nos moyens pour la durée de votre mandat.

Fait à Mauléon, le vingt-deuxième jour du mois de mai de l'an de grâce mil quatre cent soixante.*

Vanyel d'Arezac
Comtesse d'Ossau
Vicomtesse d'Agde, d'Arros, de la Ferté sur Aube & de Villemur
Baronne de Lunel
*hrp: date & lieu adaptés à la date de la cérémonie

Coup d’œil à gauche, coup d’œil à droite. Personne ne semblait bouger, alors la jeune Wagner, les jambes lourdes s'avança à son tour. Elle s'inclina devant la comtesse avant de relever les yeux vers elle.

Je suis Isaure Wagner, Vôtre Grandeur, et je viens à vous ce jour pour vous présenter mes hommages. Je vous reconnais comme la Comtesse de Béarn et vous jure auxilium, consilium et obsequium tout le temps que durera mon mandat. Que le Très-Haut veille sur vous et le Béarn.

Elle eut un sursaut en entendant la jeune personne et un sourire malicieux plissa ses yeux.

Nous Azilze d'Herbauge, comtesse du Béarn, recevons votre allegeance, Isaure Wagner et vous promettons subsistance, aide et justice, pour toute la durée de notre mandat.

Puis la regardant droit dans les yeux.

Je suis heureuse que vous n'aillez pas suivit la voie qu'à prise votre ex suzeraine damoiselle Isaure. La fidèlité à notre Roy est chose que l'on ne doit jamais remettre en cause quelqu'en soit les raisons.

Elle se demandait ce que pouvait penser la jeune femme de celle qui l'avait anobli. Elle devait être bien mal à l'aise et partager. Cette situation n'était jamais facile.

Aller hop direction la salle du trone, Lucasd avait une "formalité" à accomplir, son allégeance.

Une formalité car peu importe qui était sur le trône, l'important était son Comté et il pourrait toujours compter sur lui si besoin en était.

Une formalité plus ou moins agréable selon ....

Mais n'y pensons pas trop se dit il, on l'accomplit et ainsi après on peu de nouveau se consacrer à d'autres choses

Lorsqu'il entra dans la salle une allégeance était en cours, il s'écarta donc de l'entrée prenant place aux cotés de Cooky à qui il adressa un sourire affable, attendant en galante compagnie l'accolade qui marquerait la fin du serment

La jeune fille redressa la tête et posa son regard bleu sur la Comtesse. Le visage grave, elle lui répondit.

- Je suis fidèle au Très-Haut, votre Grandeur. Alors si le Très-Haut a dit, je m'incline et marche dans les pas qu'il a tracés pour moi.

Elle s'était inclinée, oui. En partie devant le Très-Haut, mais aussi devant sa Cousine. Quand Clémence ordonnait, elle obéissait. A tort, ou à raison. Car pour Isaure, après le Très-Haut venait la famille, toute aussi sacrée.

Sépulcre barrait les noms au fur et à mesure, il avait reçu plusieurs lettres qu'il déposa à côté de la régnante afin qu'elle y réponde.
Le rouquin écouta l'échange avec la Dame de Miramont, il ne restait plus qu'à sceller avec le baiser ou l'accolade.

Finalement les nobles s'étaient déplacé en fin de journée, il ne restait plus grand monde, deux vicomtes étaient d'ailleurs dans la salle.

j'attendais patiemment que l'on m'appel , finalement chacun y aller comme bon lui semble.
J'attendis donc la fin de l'allégeance en court puis je pris place face a la comtesse.
Genou a terre je commença.

Moi, Murlok Corvinus , vicomte de Bazillac preste ce jour mon allégeance au Béarn et a vous ,Azilze d'Herbauge Comtessa do Biarn et je jure solennellement obsequium, auxilium et consilium pour toute la durée de votre mandat.

Je ne savais pas encore a ce moment la , que je retournais au combat en dehors de nos frontières.
Mais il était de mon devoir de représenter mon comté au prêt de nos alliés.

Lucasd qui conversait agréablement avec son amie, regarda du côté du trône et aperçu Murlock qui à son tour s'y était présenté afin d'y prêter allégeance et attendait la réponse de la Comtesse qui semblait absente tout d'un coup.

Il se dit que cela vaudrait peut être la peine une prochaine fois d'effectuer un court voyage hors Béarn à une date bien précise ne serait ce que pour pouvoir se passer de tout cela et pouvoir faire son allégeance par courrier.

Autant mettre à profit ce temps pour en profiter et se détendre plutot que de devoir attendre que la journée s'écoule lentement, très lentement.

La tête un peu ailleurs vu des derniers événements, la comtesse fronçait les sourcils mais finalement regarda la jeune femme, et lui fit l'accolade qui scellait son allégeance.

Puis ce fut à Murlok de venir faire allégeance.

Nous Azilize d'Herbauge, comtesse du Béarn, recevons votre allégeance Murlok Corvinus , vicomte de Bazillac et vous promettons subsistance, aide et justice pour toute la durée de notre mandat.

Fallait avancer et après avoir fait l'accolade chercha dans sa tête qui restait en piste pour la prochaine allégeance. Brusquement elle vit Lucas et fit la grimace, plus il vieillissait plus il maugréait, l'âge sans doute et quelque rancune tenace... va savoir pourquoi..

Elle lui fait signe d'avancer.

Invité

Luck voyait la Comtesse fort occupée à recevoir les allégeances, et comprenait pourquoi elle n'avait pas le temps de passer à l'université pour la nomination du nouveau Recteur.

De retour parmi l'assistance, elle fut bientôt rejointe par Lucasd. Elles étaient bien rares les occasions de discuter d'autres choses que de sécurité, de politique ou d'économie. Ravie de pouvoir faire un brin de causette avec lui, elle chuchota de son mieux les dernières nouvelles que la gazette béarnaise ne rapportait pas.
Le temps passait et elle pouvait lire l'impatience de son ami sur son visage. Loin de s'en formaliser pour autant, elle s'amusa de ce que celui-ci ne changeait pas, toujours fidèle à lui-même, sérieux comme un chef.
Voyant Murlok qui en terminait avec son allégeance, elle se pencha vers Lucasd et murmura, l'air malicieux.

Je crois que vous allez pouvoir alléger à votre tour cher ami.
Prenez garde à ne point y mettre trop d'enthousiasme, cela serait suspect.
Je vous garde la place près de moi pour que vous puissiez ensuite assister tranquillement à la fin de la cérémonie.

En effet je crois que c'est mon tour et je vais profiter que notre Comtesse est dans un moment de lucidité pour faire avancer la cérémonie.

Gardez moi également un verre, avec tous ces boit sans soif on ne sait jamais.

Il lui sourit à son tour puis se dirigea vers le trône où siégeait la Comtesse qui venait de le mander.

On s'approche, hop un genou à terre et maintenant l'allégeance

Nous, Lucasd de Kervanech, Vicomte de Gerderest et Seigneur de Tournay renouvelle ce jour à travers vous Comtesse azilize mon allégeance au Béarn et lui jurons solennellement obsequium, auxilium et consilium pour toute la durée de votre mandat.

Restait plus qu'à attendre la réponse

Pour un peu elle aurait bien tirer la langue à Lucas. Vu la tête qu'il tirait ça l'aurait peut être dérider. A vouloir être trop sérieux on devient vite ennuyeux... et quand en plus on se positionne comme un donneur de leçon c'est pire. Enfin puisque le vicomte faisait son allégeance il fallait bien la recevoir... Elle eut un sourire puis pris la parole

Nous Azilize d'Herbauge, Comtesse du Béarn, recevons votre allégeance, Lucasd de Kervanech, Vicomte de Gerderest et Seigneur de Tournay et vous promettons subsistance, aide et justice pour toute la durée de notre mandat.

Le sourire s'élargie encore plus quand elle se dit que Lucas allais devoir supporter son accolade. Elle lui aurait bien fait un petit bisou mais il se serait surement trouver mal devant une telle chose.

Lanfeust barra le dernier nom, la journée était finie, il ne restait donc plus qu'à la comtesse de répondre aux courriers.
De son côté il fit le point, trois nobles ne s'étaient pas présentés ou n'avaient envoyé aucun courrier.
Le rouquin s'approcha donc de la comtesse.

Votre Grandeur, la cérémonie des allégeances est donc close.
Quatre nobles ne se sont pas présentés aux allégeances et n'ont envoyé aucun courrier.

Dame Eldaline est excusée car elle se trouve en retraite.
Les nobles dérogeants sont :

Yolaine, Comtesse de Coarraze , Dame de Nay
Shallimar, Vicomtesse de Doumy
Finn, Seigneur de Cayazous

Vous pouvez soit les excuser, soit les destituer, auquel cas il me faut une lettre de votre part avant la fin de votre règne.

Yolaine était en retraite et n'en est sorti que pour défendre Pau. Je trouverais anormal de la destituer alors qu'elle fait cette effort.
Shallimar est en retraite et n'a sans doute même pas eu la convocation.

Quand à Finn je ne le connais pas et vu qu'il est seigneur issue de mérite, anobli par Agnès de St Just on peut penser qu'il ne souhaite pas garder son fief, donc destitution.

Votre grandeur, lors de ma première lettre, Yolaine et Shallimar n'étaient pas en retraite.
Lors de mon courrier de rappel, Yolaine et Shallimar n'étaient pas en retraite.

J'ai vérifié à chaque fois.

Donc les trois nobles sont dérogeants comme je vous l'ai dit, ils ont eut connaissance de mes courriers.

Vous ne pouvez choisir d'en destituer un et pas les autres, c'est tout le monde ou personne.

Voilà l'allégeance à la Comtesse Azi avait été faite. Ou plutot au Béarn par son intermédiaire.

Un petit détail mais qui faisait pour lui la différence quant on voyait avec qu'elle mauvaise foi elle s'était comportée ces derniers temps, mais la connaissant elle devait être certaine de bien faire. La pauvrette elle ne se rendait même plus compte...

Lucasd allait maintenant pouvoir rejoindre son amie et profiter quelque peu de sa compagnie. Cela lui changerait certainement les idées.

Alors qu'il s'éloignait du trône, il constata que la cérémonie semblait prendre fin. Pourtant il n'avait a priori pas vu Shallimar dans la salle, peut être avait elle prété allégeance plus tot dans la journée et avait elle du partir avant la fin. Il pensa ensuite à Yolaine mais se rappela presque aussitot son comportement lors du précédent mandat et son refus de prêter allégeance et même s'il n'en avait pas directement entendu parlé elle avait du faire l'objet du dérogeance par Estampes. Des paroles comme

Citation :

Je n'ai jamais eu la moindre considération pour la noblesse, symbole discriminatoire ultime.

lui revenaient à l'esprit.
Mais bon la Comtesse et le nouvel hérault devait être au fait de tout cela il n'avait donc pas à s'en soucier.

En arrivant près de son amie il arbora un grand sourire.

Alors on se le boit ce petit verre ?

Elle leva les yeux au plafond aux mots murmurés par Lucasd. Toujours à plaisanter à sa façon si particulière. Si cela faisait longtemps qu'elle-même ne s'en formalisait plus et appréciait simplement l'homme qu'il était, elle savait bien qu'il était loin d'en être de même pour tout le monde.
Avisant un serveur qui se baladait plateau en main, elle lui subtilisa deux verres et quelques petits fours. Que la boutade de Lucasd ait été sérieuse ou non, elle-même avait soif et quelques forces supplémentaires ne seraient pas de trop avant de repartir avec ses bâtons.
Tandis que le Vicomte allégeait, elle passa le temps en grignotant les amuse-bouches. Tous avaient disparus lorsque le tarbais revint. Affichant un sourire innocent, elle lui tendit simplement un verre contre lequel elle entrechoqua au passage le sien.

Voilà pour vous...
Santat Votre vigrandeur !

Je me voit mal destituer Yolaine alors qu'elle est sorti de son trou pour défendre Pau, quand à Shallimar elle as surement un gros problème pour être partie brusquement chez les moines. Et comme elle doit avoir de la peine à lire sans doute à cause de son grand âge, elle n'a peut être même pas lu votre courrier.

Donc comme vous me dite que je doit destituer tout le monde ou pas du tout, ça sera pas du tout.

Yolaine posait pas de problème elle même n'en voulait plus, mais pas Shall, donc toute comtesse qu'elle était elle ne punirait pas quelqu'un qui était sans doute gravement malade pour disparaitre ainsi.

Puis elle dicta une réponde à chaque noble absent du béarn.

Pour ce cher vieux paddy :

Citation :: A vous Paddy Versifiet de Ouiskai,

Nous Azilize d'Herbauge, comtesse du Béarn, recevons votre allégeance, reçu par missive, pour vos terres de Castelbajac et de Sancte Fe de Morlàas, nous vous promettons subsistance, aide et justice pour toute la durée de notre mandat.

Fait à Pau, le 25 du mois de Juin de l'an de grâce 1460

Azilize d'Herbauge

Et maintenant eugénie...

Citation :: A vous Eugénie de Varenne, Vicomtesse du Montanerès, Baronne de Domfront et de Monein

Nous Azilize d'Herbauge, comtesse du Béarn, recevons votre allégeance, reçu par missive pour vos fiefs béarnais, et nous vous promettons subsistance, aide et justice pour toute la durée de notre mandat.

Fait à Pau, le 25 du mois de Juin de l'an de grâce 1460

Azilize d'Herbauge
Comtesse du Béarn

Bon maintenant à Vanyel...

Citation :: De nous Azilize d'Herbauge, comtesse du Béarn
A vous Vanyel d'Arezac

Nous Azilize d'Herbauge, comtesse du Béarn, recevons votre allégeance, reçu par missive pour vos fiefs béarnais, et nous vous promettons subsistance, aide et justice pour toute la durée de notre mandat.

Fait à Pau, le 25 du mois de Juin de l'an de grâce 1460

Azilize d'Herbauge
Comtesse du Béarn

Voilà pour vous...
Santat Votre vigrandeur !

Lucasd sourit tout en prenant le verre que lui tendait Cooky. Alors qu'il le levait pour trinquer il entendit la fin de la discussion qui se tenait derrière lui.

Citation :: Donc comme vous me dite que je doit destituer tout le monde ou pas du tout, ça sera pas du tout.

Cette fois c'est un regard qui frisait le dégout qui se posa sur la Comtesse. Ainsi nous avions atteint le paroxysme de la lâcheté. Qu'Aristote nous protège, il fallait espérer qu'aucune choix ou décision d'importance n'ait à être pris durant ce mandat.

Tout sourire avait disparu de son visage lorsqu'il se tourna à nouveau vers cooky. Il posa son verre toujours plein.

Pardonnez moi mais tout à coup je n'ai vraiment plus envie de trinquer.
Venez quittons cet endroit comme semble t'il l'ont déjà fait les valeurs fondamentales remplacées par la couardise et le copinage.

» Lit pour la Comtesse Azilize
» Azilize [Haute-Trahison]