[RP]Bienvenue au Chateau de Pau - Accueil

Garath s'était rendu tôt ce matin là au nouveau Château de Pau, curieux de voir a quoi il ressemblait, et aussi dans le but de proposer ses services pour la construction du Duché. Il vit la une tablée simple destinée à accueillir les nouveaux venus, ainsi que le Prince Juliano di Juliani qui attendait. Il s'approcha de lui et lui fit une révérence.

Bien le bonjour Messire, je suis heureux de vous voir en un tel lieu et j'espère que ce nouveau Duché sera aussi prospère sinon plus que le reste du royaume de France.

Maleus arriva au chateau l'air à moitié absent.

"Mignon l'chateau...quoi que sur not' blason y'a un taureau avec une clochette, ça parcontre je vais avoir du mal à m'y habituer..."

Petit salut aux autres et va s'assoir quelque part.


ON EST DANS UN SUJET RP, alors je dégage ceux qui savent pas lire... JUJU

En effet Messire, Je fus Conseiller Ducal entre autre et pour le plus longtemps à l'économie mais ce ne sont pas là les seules cordes que j'ai à mon arc, je me réjouis que vous vous souveniez de moi. En effet j'ai décidé de tenter l'aventure, un Duché neuf ou tot est à faire est une grande aventure et je m'en serais voulu de ne pas avoir participé à la grandeur du royaume de France.

Geoffroy d'Harlegnan dict Lunconnu avait fait le tour du château avant de venir se présenter. Une petite visite lui permettait de s'imprégner de l'ambiance de ses nouveaux lieux. Ici tout le changer des Flandres et du château de Bruges dont il connaissait le moindre recoin. Arrivant devant le prince qu'il avait déjà croisé, il attendit qu'il est finit pour se présenter.

Bonjour Messieurs,

Je suis Geoffroy d'Harlegnan mais généralement on m'appelle Lunconnu. Nom qui vient de mon passé.
Lunconnu sourit.
Mais nous ne sommes pas là pour parler de moi.

Je suis venu ici tenté l'aventure avec beaucoup de ma famille qui se sont répartis dans les différentes villes. Pour ma part, avec mon épouse nous avons choisi Tarbes.

Je suis là pour faire de ce comté un comté dont tout le monde pourra être fier.
Mon Prince, j'ai donné à votre crieur une lettre me présentant un peu. J'ai remplit pas mal de poste en Flandre et si vous avez besoin de quoique ce soit, je suis là.

Pour que la construction du Comté soit rapide, viable et tout ce qu'il faut il vaut mieux effectivement tous travailler ensemble, cela me semble la moindre des choses. Enfin le temps nous le dira. Personnellement et si il en est décidé ainsi, je serais près a travailler avec n'importe qui de bonne volonté pour que tout se passe bien soyez en sur Prince.

Alors que le château de Pau était en plein effervescence suite à l'annonce par Paris de la composition du Conseil de régence, Gilberg entra dans la cour, ayant au préalable laissé son convoi sous la garde de son escorte.

Avisant un domestique qui courrait, les bras chargés de parchemins et tentant de maintenir en équilibre instable les tentures qu'il portait sur le dos, il lui demanda

Holà ! Sais-tu si une partie de ce château, ou d'un autre, a été attribuée pour les diplomates en goguette venant prendre leurs quartiers dans votre beau pays ?

Bonjour Monseigneur,

Je me nomme d'Aiguorniss d'Azurhaior dit Daiguorniss. Originaire de la Montagne Noire au Nord de Toulouse, j'ai été acceuillis à Bayeux en Normandie ou j'ai eu l'honneur de tenir les charges de Chancellier auprès du Saint Empire et d'Ambassadeur en Savoie.

J'ai également été élu à quatre reprises à l'Assemblée du Peuple dont une en tant que Président. Je suis également Copiste Académique à l'Académie Royale de Linguistique et viens d'être accepté comme Lieutenant de la Maréchaussie d'Orthez.

J'espère que mes connaissances pourront être utiles à ce beau Comté et que nous le ménerons loin dans la paix.

Pendant quelques instants, le domestique interpelé regarda Gilberg, sourire béat sur le visage, mais sans réaction. Craignant d'avoir affaire à un simplet, avant de lui faire signe de continuer sa tâche, Gilberg lui dit :

Lorsque tu croiseras l'un de tes maîtres, serais-tu assez mignon pour leur signaler que l'ambassadeur du Berry attend de pouvoir remettre ses lettres de créance au régent ? Mais peut-être ne suis-je pas au bon endroit ? Si tel est le cas, j'attendrais qu'on me le fasse savoir à l'auberge principale, en espérant qu'il y reste de la place assez convenable pour un diplomate.

Le Mistral soufflait donc aussi à Pau ?
C'est à peu près ce que pensa Heulynn lorsqu'une personne la heurta violemment alors qu'elle avait le nez en l'air, admirant les peintures du plafond. Elle fut obligée de reculer de quelques pas, s'aidant des bras pour garder son équilibre.
Pinçant les lèvres pour ne pas laisser sortir les mots qui lui vinrent, elle observa la dame. Oui, c'était une dame, transformée en boulet de canon, pour la sécurité de Pau, sans aucun doute ! On tirait sur Heulynn à coup de petite dame blonde !
Et cette petite dame parlait !
Elle se présenta et puis, sans autre forme de procès demanda son identité à une Heulynn entre deux chaises...enfin, façon de parler.
Il faut savoir qu'Heulynn s'ennuyait quelque peu...et que quand Heulynn s'ennuie un peu, beaucoup, à la folie, passionnément, elle est capable de tout !
Aussi, hésitait-elle entre se présenter et dire être la Reyne de France.
Un coup d'oeil au mur et au portrait y trônant, en grand, l'aida à être sage. N'importe quel plouc béarnais, comparant le portrait de la Reyne et son minois, verrait la différence.
C'est donc dans un sourire poli qu'elle répondit.
Ma dame Varenne, je suis enchantée de vous rencontrer. Petite inclinaison polie. Je suis Heulynn de Cadenet-Bellecour. En vacances en Béarn...

- Heulynn ?

Nom prononcé d'une voix songeuse.
Pourquoi ce nom lui chante ? Sans trop de cérémonie ni de discrétion à vrai dire, elle regarde la dame brune de haut en bas, puis fronce les sourcils. Juge. Sous la régence de son Lothaire. Mais... Non. Ce n'était pas possible. Essayant de se composer une attitude, elle se redresse puis se force à sourire.

- Votre nom me dit quelque chose... Nous connaissons-nous ? Un geste vague de la main, elle regarde à son tour le plafond comme pour éviter une vérité dérangeante. Puis, tourner vers l'arrivante un visage aussi neutre qu'elle peut. Bienvenue en vacances alors... Attendez-vous quelqu'un de précis ?

Plaisir non dissimulé de voir un visage tentant de rester neutre alors que de légères ridules se forment sur le front lorsqu'elle la déshabille du regard...Sourire moqueur.
Son nom a du chanter ou gémir jusqu'à bien loin en Royaume et au-delà...Cela l'amuse, à dire vrai.
On la connaît mais on essaye de l'oublier ou de l'ignorer, ce qui l'arrange, pour l'heure où la règle est à la détente.
La dame reprend contenance, une Chancelière sait se tenir...Un bon point pour la blonde au teint mat. "Devrait sortir, voir le soleil, aller batifoler dans les champs, la petite dame !" Pense-t-elle, pour elle-même.
C'est un joli sourire qui borde ses lèvres lorsqu'elle reprend, ignorant, volontairement, la début de la phrase.
Je ne pense pas vous connaître, ma dame, non. Je m'en souviendrais si tel était le cas.
La blonde lui adresse un regard neutre, froid...ou inconsistant, peut-être.
Merci beaucoup, ma dame.
Non...non, je n'attends personne...j'admirais simplement vos superbes salles...j'adore le plafond de celle-ci, d'ailleurs ! Elle pointe un index vers le plafond avant de relever le nez sur la fresque. Oui, superbe...vraiment !

Surprise.
Cette dame n'attend personne, elle n'est pas ambassadrice, et elle aime regarder les murs. Lorsque la visiteuse montre de l'index un plafond, la Varenne lève le visage... Oui, un plafond, quoi. Pas de raison d'y passer la journée pour elle, la passer entre pleurer, la salle du conseil et le hall sainte-raphaelle lui suffit déjà. Parfait ! Décidant de remettre à plus tard les recherches ô combien fastidieuses pour situer la dame brune, et puis surtout décrétant qu'elle a mieux à faire que de bavasser inutilement avec une personne qui n'est pas ce qu'elle croyait était une perte de temps, c'est une esquisse de sourire vraiment soulagé qui se desinne.

-Mmh. Quel programme, des vacances! Du calme, pas de politique, pas de débats, pas de comptes à rendre, pas de réputation à se faire... Et admirer les murs ! Vraiment... Quelle chance. Râté pour le ton enjoué, il est tout simplement morne. Se redresser pour partir à nouveau le sourire se crispant. Hé bien, je vous souhaite donc d'excellentes vacances.

Demi-tour sur ses talons et la voilà repartie...
La mort dans l'âme un peu quand même. Elle aurait bien bu un verre ou deux de Jurançon en compagnie d'une ambassadrice... peut-être que ses ambassadeurs seraient eux aussi en pause ? C'est priant pour qu'ils ne se mettent pas aussi à regarder les murs quelle presse le pas, relavant les pans de sa robe.

oli se présenta au chateau... Voici deux jours qu'il attendait qu'on lui remette ses clefs... Et... Il n'était pas connu pour estre trés patient...

oui comtessa. Oli est moins présent. Certes... Et peu importe les raisons mais il garde toujours un oeil sur le béarn... Mairs treve de salamalek... Une annonce comtale informait les béarmais, le 4 juin que le sieur faross avait demissioné...hors en ce vendredi 12 juin, missive officielle parvenait à oli, lui indiquant la demission du dict sieur...étrange...mais nous aurons l'occasion d'en reparler... J'attend donc mes clefs...